Balisage

La Flèche n°13

1 oct. 1990

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La Flèche n°13

1 oct. 1990

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La Flèche n°13

1 oct. 1990

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La Flèche n°13

1 oct. 1990

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La Flèche n°13

1 oct. 1990

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Captures d’orques au large de l’Islande

27 sept. 1990

Selon des informations recueillies par Robin des Bois, le Ministère islandais des Pêches a une fois encore autorisé la compagnie FAUNA à capturer 4 orques. Cette pratique se perpétue depuis 10 ans et régulièrement à la fin du mois de septembre. Le bateau de pêche Halldora Hf, qui habituellement traque les bancs de harengs, a momentanément changé d’activité pour se lancer à la poursuite des orques sur la côte Est d’Islande. Après la capture, les mammifères seront provisoirement stockés dans un vieux bassin dans le port d’attache du Halldora Hf à Hafnarfjordur (15 km de Reykjavik). Il est d’usage que la compagnie FAUNA reçoive ses commandes avant les captures et 2 des destinations probables pour ces orques sur le point d’être capturées sont Kama Grove Sea World au Japon et le projet de Marine World à Saint-Pierre-du-Perray près de Paris.

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La Pêche au thon sur les dauphins dans le Pacifique Est

12 sept. 1990

Le problème
Depuis 30 ans, dans le Pacifique Est, la pêche industrielle au thon albacore se fait “sur les dauphins”. Pour une raison indéterminée, cette région est la seule de l’océan mondial où les thons en matte nagent systématiquement sous les dauphins.
Les dauphins sont repérés, encerclés, épuisés, immobilisés, puis pris dans les filets en même temps que les thons. Ainsi, depuis 1960, environ 7 millions de dauphins sont morts noyés ou blessés. Ce sont essentiellement des bateaux de pêche américains ou latino-américains.

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Les dernières nouvelles de l’ETP

3 sept. 1990

I – L’embargo des USA sur l’albacore

Le 28 août 1990, la justice américaine s’est prononcée pour un embargo sur tout le thon albacore en provenance des pays qui délibérément pratiquent l’encerclement des dauphins dans le cadre de la pêche au thon dans le Pacifique Est. Le Mexique, le Venezuela, Panama, l’Equateur et Vanuatu sont visés. Cet embargo découle du Marine Mammal Protection Act (MMPA) de 1972 et de ses amendements en date de 1984 et 1988 qui exigent des pays exportant de l’albacore vers les USA un taux de mortalité de dauphins par “set” (lancé de filet) qui ne dépasse pas le double du taux imposé aux bateaux américains pour l’année 1989. En outre, pour 1990, le taux de mortalité devrait être réduit à 1,25. En 1989, le nombre de dauphins tués par les USA est de 12.643, tandis que le chiffre officiel pour la flotte étrangère aux USA est de 84.336 (42% de plus qu’en 1988). L’embargo est entré en vigueur après un recours en justice de l’organisation écologiste “Earth Island Institute”. Cependant ce groupe préconise des dérogations si le thon est certifié “dolphin-safe”.

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1991 : Non-violence pour les baleines

9 juil. 1990

La 42ème réunion de la Commission Baleinière Internationale (CBI) vient de se dérouler à Nordwik aux Pays-Bas. Une année de plus, les baleines vont bénéficier d’une reconduction tacite de la non-chasse commerciale. Pour la première fois, le Ministère de l’Environnement faisait partie de la délégation française. Il était urgent que l’Environnement soit associé à la politique baleinière française. De fait, la France s’est clairement engagée pour les baleines.

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Plutonium : une nouvelle trahison du gouvernement socialiste

23 mai 1990

Malgré les requêtes de la C.F.D.T., des Verts et des principales associations de protection de l’environnement (Robin des Bois, Amis de la Terre, Greenpeace), les ministres de l’Industrie et de l’Environnement viennent d’autoriser la construction à Marcoule de l’usine MELOX.

Cette unité fabriquera du MOX, combustible nucléaire à base d’uranium auquel sera incorporé du plutonium. E.D.F. elle-même reconnaît que la seule justification au MOX est l’image de marque de l’industrie nucléaire française et son souci de sauvegarder les apparences de la cohérence. Il s’agit en effet d’utiliser le plutonium extrait à grands frais et à grands risques des combustibles irradiés retraités à l’usine de La Hague, la “presqu’île nucléaire” de la France et du monde. Le plutonium de La Hague, dont le stockage coûte 12 francs le gramme par an et dont la dose létale est d’1 microgramme, n’a plus d’exutoire depuis que la filière à neutrons rapides (surgénérateur) se condamne d’elle-même à l’échec.

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