Les traverses de chemins de fer retirées des voies ferrées par centaines de milliers sont des déchets dangereux et cancérogènes. Pourtant, elles s’introduisent dans les maisons, les terrasses, les potagers et les jardins publics. Elles vont jusqu’à s’installer dans les charpentes ou les écuries. Les circuits sont complexes : récupération, internet, bons coins et mauvais plans, import-export. Les paysagistes ne sont pas en reste. Dans ce domaine, ils sont hors concours et hors la loi. Gare aussi aux poteaux téléphoniques usagés et traités à l’arsenic.