Seveso et le Charles-de-Gaulle
Robin des Bois est hostile à la venue en baie de Seine du porte-avions nucléaire Charles-de-Gaulle, comme de tout autre bâtiment militaire ou commercial propulsé par l’énergie atomique.
L’environnement régional est déjà assez cerné par les risques industriels, maritimes, et pyrotechniques, pour ne pas envisager d’y rajouter le risque nucléaire et les rejets chroniques de deux réacteurs.
Le Conseil Général dit qu’une étude de sûreté est en cours. Pour nous, elle est déjà faite : il est inconcevable d’inscrire, ne serait-ce que pour quelques jours le Charles-de-Gaulle et son potentiel de risques dans le périmètre de la zone létale ou des effets irréversibles des usines et stockages assujettis à la directive Seveso ; Robin des Bois pense en particulier aux stockages pétroliers de la CIM.
Seveso et le Charles-de-Gaulle
Robin des Bois est hostile à la venue en baie de Seine du porte-avions nucléaire Charles-de-Gaulle, comme de tout autre bâtiment militaire ou commercial propulsé par l’énergie atomique.
L’environnement régional est déjà assez cerné par les risques industriels, maritimes, et pyrotechniques, pour ne pas envisager d’y rajouter le risque nucléaire et les rejets chroniques de deux réacteurs.
Le Conseil Général dit qu’une étude de sûreté est en cours. Pour nous, elle est déjà faite : il est inconcevable d’inscrire, ne serait-ce que pour quelques jours le Charles-de-Gaulle et son potentiel de risques dans le périmètre de la zone létale ou des effets irréversibles des usines et stockages assujettis à la directive Seveso ; Robin des Bois pense en particulier aux stockages pétroliers de la CIM.