Torpiller les déchets du tsunami et polluer
Le chalutier Ryou-Un Maru, vaisseau fantôme entraîné par le ressac du tsunami du 11 mars 2011 a été coulé par les garde-côtes américains. L’épave repérée depuis le 23 mars s’approchait sous l’effet des courants de l’Alaska. L’opération a eu lieu à 180 milles marins de l’Alaska.
Torpiller les déchets du tsunami et polluer
Le chalutier Ryou-Un Maru, vaisseau fantôme entraîné par le ressac du tsunami du 11 mars 2011 a été coulé par les garde-côtes américains. L’épave repérée depuis le 23 mars s’approchait sous l’effet des courants de l’Alaska. L’opération a eu lieu à 180 milles marins de l’Alaska.
Les déchets du tremblement de terre et du tsunami au Japon Rapport d’étape – septembre 2011
1. La contagion radioactive
Le 11 mars 2011, c’est le vide juridique au Japon pour les déchets radioactifs diffus d’une catastrophe nucléaire. La Loi en vigueur sur la gestion des déchets place sous la responsabilité technique et financière des collectivités territoriales les déchets des catastrophes naturelles à l’exclusion cependant des déchets radioactifs ; la Loi sur la réhabilitation des sols pollués exclut de son périmètre les sols et déchets radioactifs ; la Loi sur la gestion des matières et des déchets radioactifs concerne seulement l’emprise des établissements nucléaires.
Les déchets du tremblement de terre et du tsunami au Japon Rapport d’étape – septembre 2011
1. La contagion radioactive
Le 11 mars 2011, c’est le vide juridique au Japon pour les déchets radioactifs diffus d’une catastrophe nucléaire. La Loi en vigueur sur la gestion des déchets place sous la responsabilité technique et financière des collectivités territoriales les déchets des catastrophes naturelles à l’exclusion cependant des déchets radioactifs ; la Loi sur la réhabilitation des sols pollués exclut de son périmètre les sols et déchets radioactifs ; la Loi sur la gestion des matières et des déchets radioactifs concerne seulement l’emprise des établissements nucléaires.
Le Japon harponne la Commission Baleinière Internationale
Commission Baleinière Internationale
Communiqué n°3 – Jersey
A l’occasion de la 63ème session plénière de la Commission Baleinière Internationale, le Japon a démontré la diversité de ses talents pour saborder les initiatives en faveur de la protection des baleines et bâcler les débats sur les menaces environnementales qui pèsent sur les cétacés. Cette année, c’est une lacune dans le règlement de la CBI qui a été finement exploitée par les juristes nippons pour écarter une proposition de sanctuaire dans l’Atlantique sud.