« A la Trace » n°16, bulletin d’information et d’analyses sur le braconnage et la contrebande d’animaux
697 événements de janvier à mars 2017
116 pages illustrées
5,1 Mo
Rhinocéros, éléphants, hippopotames et mammouths, pages 64 à 90
Défroggons-nous – pages 25 à 26
Pour les parties prenantes françaises aux conventions internationales sur la protection des baleines, des zones humides et des espèces animales menacées d’extinction arrive toujours le moment fatal où en in ou en off l’épineux problème de l’addiction aux cuisses de grenouille est abordé. Au bout du monde, ça nous revient comme un boomerang. Les cuisses de grenouille irradiées en vente dans les magasins Picard surgelés viennent d’Indonésie sous une fausse appellation et l’Etat français autorise par l’intermédiaire du préfet la capture de 2 millions de grenouilles par an en Franche-Comté, la plus froggy des régions de France.
Le mal à l’âne – pages 109 à 113
Tous les continents sont touchés. L’Europe est encore préservée. Les ânes sont volés par milliers, abattus à la sauvage et les peaux rejoignent officiellement ou par contrebande la Chine pour produire de l’ejiao, le produit miracle qui retarde la ménopause et donne aux ouvriers un moral d’acier.
Les braconniers sont-ils payés par Monsanto ? – pages 37 à 41, pages 92 et 96.
Ils s’acharnent sur les insecticides naturels que sont les pangolins, les tamandous à quatre doigts et les oryctéropes du Cap.
Y’a un loup – pages 61 à 63
Colombie-Britannique, Yakoutie, Europe, les loups reçoivent des plombs et des quolibets. Sur le continent nord-américain, Sadie Parr, directrice de Wolf Awareness se bat comme une lionne pour les loups et contre un projet d’air gunning. « La résilience exceptionnelle des loups ne doit pas servir de prétexte à leur massacre » dit-elle.
Macaca fascicularis p. 46