“A la Trace” n°36, le bulletin de la défaunation
“A la Trace” n°36, le bulletin de la défaunation
1342 évènements sourcés, vérifiés, analysés, commentés, consolidés
entre le 1er avril et le 30 juin 2022
407 documents iconographiques. 8 cartes et des archives historiques
(pdf, 238 pages – 7,5 Mo)
Les incroyables miscellanées de Robin des Bois sur les braconnages et les contrebandes continuent. “A la Trace” met en lumière les tendances du marché noir, les nouvelles armes et les nouveaux modes opératoires des pilleurs et des contrebandiers, les rumeurs destinées à attirer les consommateurs d’animaux sauvages et de leurs sous-produits. “A la Trace” rend aussi hommage aux individus, ONG et institutions qui luttent contre la criminalité faunique. Mis bout à bout, les 36 numéros de “A la Trace” sont la chronique biologique, sociale, policière, douanière, juridique et financière de la pandémie du braconnage et de l’exploitation anarchique et hypocrite de la biodiversité.
“A la Trace” n°35, le bulletin de la défaunation
“A la Trace” n°35, le bulletin de la défaunation
1420 évènements sourcés, vérifiés, analysés, commentés, consolidés entre le 1er janvier et le 31 mars 2022
368 documents iconographiques
10 cartes et des archives historiques
(pdf, 218 pages – 7,4 Mo)
Charlie Hebdo et Robin des Bois – 2022
A lire dans Charlie Hebdo, des articles rédigés par Jacky Bonnemains, Robin des Bois:
Dans le Charlie Hebdo du 10 août 2022 (pdf), “Le trafic international de cheveux pousse vite”, “Quand tu descendras du ciel” et “Vive la guerre!” au sujet de la poudrerie de Bergerac.
Dans le Charlie Hebdo du 17 août 2022 (pdf), “L’autoroute de la mort”, “Symphonie arboricole” au sujet de la maison d’Olivier Messiaen et “La guerre du blé et des bateaux-poubelle” au sujet des cargos quittant l’Ukraine chargés de blé.
“A la Trace” n°34, le bulletin de la défaunation
“A la Trace” n°34, le bulletin de la défaunation (pdf, 271 pages – 9,5 Mo)
1854 évènements sourcés, analysés entre le 1er septembre et le 31 décembre 2021.
506 documents iconographiques.
Douze cartes et des archives historiques.
Dans 19 jours, la 19ème session plénière de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction) se déroulera à Panama City avec la participation de Robin des Bois, de la Fondation Franz Weber et de la Fondation Brigitte Bardot qui soutiennent “A la Trace”.
Les baleines dans le rouge n°3
Commission Baleinière Internationale
Portoroz – Communiqué n°3
Après les échouages massifs depuis le début de l’année de globicéphales, de baleines grises et de cachalots sur les plages ou dans les criques de l’océan mondial, c’est au tour de la Commission Baleinière Internationale de s’échouer. L’accident a été constaté à Portoroz, Slovénie, au bord de l’Adriatique, pendant et à l’issue de la 68ème session plénière. Les experts internationaux et les ONG qui sont à son chevet tentent de la remettre à l’eau.
Les baleines dans le rouge n°2
Commission Baleinière Internationale
Portoroz – Communiqué n°2
L’écocide des baleines à l’abri des regards et des compassions et pour le plus grand profit des industriels civils et militaires a rougi l’océan mondial de 1900 à 1989 avant de s’éteindre ou presque en l’an 2000. Il y a encore des braises et des reprises de feu. Des rengaines sur la souveraineté et la suprématie alimentaire de l’humanité et sur le maintien des cultures traditionnelles sont constatées et malheureusement tolérées voire encouragées.
Les baleines dans le rouge
Commission Baleinière Internationale
Communiqué n°1
La Commission Baleinière Internationale (CBI), après le départ du Japon en 2019, est en grande difficulté financière. La cessation de paiement, c’est pour 2025. Trois options sont dans les tuyaux pour redresser la barre.
Les orques au bord du gouffre
Le communiqué de presse publié le 6 juillet sous l’autorité du préfet de la Seine-Maritime réserve au moins 2 surprises :
A la Trace n°32 – le bulletin de la défaunation
A la Trace n°32 – Janvier-février-mars-avril 2021
pdf, 306 pages – 24 Mo
Nous ne laissons aucun animal sauvage menacé d’extinction sur le bord du chemin.
Notre équipe de profileurs a examiné à la loupe les photos des barbaries, des atteintes à la diversité, à la beauté et à la musicalité de la Terre. Du chardonneret au tigre, les animaux passent à la torture puis à la gloire posthume du commerce en ligne ou sur les marchés ou bien finissent en prison à perpétuité.
Nous avons aussi repéré, rassemblé, analysé les articles de presse écrite, les messages et les vidéos sur les réseaux sociaux, les communiqués des douanes et des polices sur les braconnages en mer, dans les arbres et les marais, et sur les contrebandes dans les ports, les aéroports, les gares routières et ferroviaires.
Ainsi nous avons fait le tour du monde en 120 jours – de janvier à avril 2021 – et découvert dans les conteneurs et les soutes à bagages des grandes et petites affaires humaines, des milliers de requins, de paons et de lions dont il ne restait plus que des ailerons, des plumes et des os.
A la frontière entre le Vietnam et la Chine, on a même repéré un camion qui transportait de nuit des big bags d’écailles de pangolin et de cheveux humains. Dans les 4 premiers mois de 2021, au moins 11 tonnes d’écailles de pangolins ont été saisies, ce qui correspond à au moins 30.000 spécimens.