Pillage, commerce et maltraitance

Vivants ou morts, entiers ou en morceaux, les animaux sauvages sont une marchandise ordinaire à vendre au plus offrant jusqu’à l’extinction de l’espèce. Les réseaux criminels s’enracinent, s’enrichissent, se mondialisent et se diversifient. La faune est traquée pour décorer, habiller, faire bander, guérir, divertir et se nourrir. Un cauchemar. Depuis juillet 2013, Robin des Bois publie « A la Trace », trimestriel unique sur le braconnage et la contrebande de la faune sauvage, sur les risques sanitaire du commerce international et sa cruauté. La disparition progressive de la faune sauvage prive la Terre de ses plus belles couleurs.

« A la Trace » n°21, le bulletin de la défaunation

31 juil. 2018

« A la Trace » n°21, le bulletin de la défaunation

Trimestriel d’information et d’analyses sur le braconnage et la contrebande d’animaux
792 évènements du 1er avril au 30 juin 2018
124 pages, 4,7 Mo

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Vous aussi, venez au secours des orangs-outans

25 mai 2018

Vous aussi, venez au secours des orangs-outans

A l’occasion du lancement du n°20 de « A la Trace », Robin des Bois vient aujourd’hui à la rencontre des collaborateurs de l’usine Nutella à Villers-Ecalles, Seine-Maritime.

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Lettre ouverte

Destinataires : collaborateurs de l’usine Nutella à Villers-Ecalles, Normandie

Frugivores, paisibles et arboricoles, les orangs-outans sont expropriés par l’agriculture industrielle et en premier lieu par l’industrie de l’huile de palme.

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« A la Trace » n°20, le bulletin de la défaunation

21 mai 2018

« A la Trace » n°20,  le bulletin de la défaunation
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« A la Trace » n°19, le bulletin de la défaunation

26 févr. 2018

« A la Trace » n°19, le bulletin de la défaunation
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Bulletin « A la Trace » n°18

24 nov. 2017

Bulletin « A la Trace » n°18

« A la Trace » n°18
Bulletin trimestriel d’information et d’analyses sur le braconnage et la contrebande d’animaux
748 événements du 1er juillet au 30 septembre 2017
124 pages illustrées
pdf – 4,3 Mo

KO et Ciao les ormeaux (Haliotis spp.) – p.5
Le Ministère des pêches sud-africain a suspendu le 7 août l’attribution des permis de pêche. La capture des ormeaux est aux mains des gangs du Cap et de la mafia chinoise. Sur le marché local, le prix au kg atteint 400 US$. Il était de 40 US$ en 2008. La violence et la corruption sont quasiment les seules aujourd’hui à encadrer l’exploitation et la contrebande des gastéropodes marins. Même les élevages sont pillés.
L’Union Européenne et notamment la France, l’Espagne, l’Italie, le Portugal et le Royaume-Uni seraient bien inspirés d’examiner avec attention ce marché noir issu au départ de la pêche de loisirs et de subsistance et d’en tirer les leçons pour prévenir l’extinction des ormeaux et d’autres espèces inféodées aux rochers et à l’estran.

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Bulletin « A la Trace » n°17

1 août 2017

Bulletin « A la Trace » n°17

Bulletin d’information et d’analyses sur le braconnage et la contrebande d’animaux
764 événements du 1er avril au 30 juin 2017
128 pages illustrées
4,4 Mo

Ormeaux, strombes, bénitiers et conques (p. 4)
Toujours un trafic soutenu et massif entre l’Afrique du Sud et la Chine. Une morgue et des fausses cargaisons de granulés de plastique témoignent de la créativité et du culot de la filière de contrebande. Les sanctions pénales et financières sont fortes. La valeur des saisies dépasse le million d’US$. Les chiens renifleurs sont sur le coup.

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Bulletin « A la Trace » n°16

19 mai 2017

Bulletin « A la Trace » n°16
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Le Mondial du braconnage et de la contrebande

2 févr. 2017

Le Mondial du braconnage et de la contrebande
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Une nouvelle ère pour les éléphants

30 déc. 2016

Le gouvernement chinois décide de la fermeture de son marché domestique de l’ivoire. Dans un premier temps, au plus tard le 31 mars 2017, les ateliers agréés de transformation d’ivoire n’auront plus le droit d’exercer cette activité. Dans un deuxième temps, au plus tard le 31 décembre 2017, les magasins agréés de vente d’ivoire au détail devront abandonner ce marché. Ces ateliers et magasins étaient alimentés par de l’ivoire « légal » en provenance de certains pays d’Afrique australe et par de l’ivoire provenant du braconnage à travers le continent africain.
La reconversion des ateliers et des commerçants sera accompagnée.
La lutte contre la contrebande de l’ivoire brut et des ivoires travaillés et les ateliers clandestins de transformation d’ivoire va être renforcée.
Des efforts d’information envers les consommateurs vont être intensifiés pour « créer un environnement favorable à la protection des éléphants, des autres animaux sauvages et de la flore » selon l’annonce du gouvernement chinois.
« Pour des raisons culturelles », la seule activité commerciale d’ivoire autorisée sera la vente aux enchères d’antiquités certifiées.

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La Chine veut aussi la peau de l’âne

19 déc. 2016

La Chine veut aussi la peau de l’âne

Une véritable explosion des exportations de peaux d’ânes à destination de la Chine est observée depuis un an du nord au sud de l’Afrique. Les pays les plus touchés sont l’Egypte, le Burkina Faso, le Mali, le Niger, le Kenya, la Tanzanie, le Botswana et l’Afrique du Sud. En Egypte, le prix d’un âne était de 17 € il y a 2 ans. Il se vend 10 fois plus cher aujourd’hui.
Le Burkina Faso est le symbole de cette foudroyante persécution.
– 1er trimestre 2015 : 1000 peaux exportées.
– 4ème trimestre 2015 : 18.000 peaux.
– 1er semestre 2016 : 65.000 peaux.

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