Robin des Bois apprécie que l’ex-porte-avions Clémenceau soit remorqué par la Marine Nationale et écarté des côtes Siciliennes.
L’association souligne depuis le 5 novembre les dangers représentés par le Clémenceau, en cas de rupture des remorques ou des chaînes d’ancres, d’échouage ou de dérive sur un axe maritime particulièrement fréquenté. L’association dans son communiqué du 25 octobre a aussi rappelé que de nombreux produits toxiques sont embarqués à bord du navire. Au sujet du pyralène, aucune réponse précise et chiffrée n’a été fournie par la Marine Nationale ou l’Etat français.
Connaissant les pratiques ” d’océanisation ” de la Marine Nationale et le projet initial de faire du Clémenceau un récif artificiel pollué, l’association s’inquiète que la destination finale du convoi ne soit pas spécifiée et demande à ce sujet des informations précises. Robin des Bois demandait dans son communiqué du 28 octobre le retour à Toulon du Clémenceau.
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