Frissons en Antarctique
Coup sur coup, 2 paquebots viennent d’être victimes d’avaries graves dans les eaux australes.
Le Boréal, battant pavillon français a subi un incendie et une panne générale de propulsion. 79 passagers ont été hélitreuillés depuis le pont par des hélicoptères anglais Sea King basés sur les îles Malouines. 200 passagers et membres d’équipage regroupés sur 2 chaloupes de sauvetage ont été secourus par le HMS Clyde de la Royal Navy. Le Boréal avait quitté Ushuaia en Argentine le 15 novembre pour une croisière de 15 jours en Antarctique. Coup de chance, l’incendie dans le compartiment machines s’est déclaré seulement 3 jours après le départ, dans des circonstances météorologiques favorables et à portée des moyens de sauvetage disponibles. Le Boréal est présenté par son armateur, le Ponant (ex Compagnie des Îles du Ponant), comme un « yacht rare et innovant sur le marché des navires de croisière ».
Suspension de la chasse à la baleine en Antarctique
65ème Commission Baleinière Internationale
Portoroz – Slovénie
Pour la première fois depuis 27 années, les baleines de l’Océan Austral ne verront pas les harpons des navires chasseurs, ni le sinistre Nisshin Maru, le navire usine hors d’âge qui servait d’abattoir à la chasse « scientifique » japonaise. Le Japon se soumet à la condamnation de la Cour Internationale de Justice de la Haye fondée sur la disproportion entre les enseignements scientifiques de la chasse japonaise et le nombre de baleines tuées (1).
Ce jugement de la Cour Internationale de Justice a été consolidé et prolongé par une résolution présentée par la Nouvelle Zélande adoptée par la majorité des pays présents à la Commission Baleinière Internationale (CBI) réunis cette semaine. De par l’approbation de cette résolution, les « permis spéciaux de recherche » doivent être désormais soumis à l’avis du Comité Scientifique de la CBI. Le Comité devra en particulier dire dans quelle mesure la capture et la mort des baleines sont nécessaires à l’accomplissement des objectifs scientifiques recherchés.
Suspension de la chasse à la baleine en Antarctique
65ème Commission Baleinière Internationale
Portoroz – Slovénie
Pour la première fois depuis 27 années, les baleines de l’Océan Austral ne verront pas les harpons des navires chasseurs, ni le sinistre Nisshin Maru, le navire usine hors d’âge qui servait d’abattoir à la chasse « scientifique » japonaise. Le Japon se soumet à la condamnation de la Cour Internationale de Justice de la Haye fondée sur la disproportion entre les enseignements scientifiques de la chasse japonaise et le nombre de baleines tuées (1).
Ce jugement de la Cour Internationale de Justice a été consolidé et prolongé par une résolution présentée par la Nouvelle Zélande adoptée par la majorité des pays présents à la Commission Baleinière Internationale (CBI) réunis cette semaine. De par l’approbation de cette résolution, les « permis spéciaux de recherche » doivent être désormais soumis à l’avis du Comité Scientifique de la CBI. Le Comité devra en particulier dire dans quelle mesure la capture et la mort des baleines sont nécessaires à l’accomplissement des objectifs scientifiques recherchés.
Nisshin Maru : envoyez le à la casse, pas à la chasse
Le gouvernement japonais vient d’annoncer qu’il envisageait une « réparation complète » du Nisshin Maru, navire-usine mère de la flotte baleinière qui opère en Antarctique au nom de la science. Les travaux ne pourront être que sommaires car le Nisshin Maru doit être fin prêt pour le grand départ en Antarctique qui comme chaque année survient courant novembre. L’agence des pêches japonaises espère que ce maquillage express tiendra 10 ans.
Le Nisshin Maru est vieux. Il a été lancé en 1987.
Nisshin Maru : envoyez le à la casse, pas à la chasse
Le gouvernement japonais vient d’annoncer qu’il envisageait une « réparation complète » du Nisshin Maru, navire-usine mère de la flotte baleinière qui opère en Antarctique au nom de la science. Les travaux ne pourront être que sommaires car le Nisshin Maru doit être fin prêt pour le grand départ en Antarctique qui comme chaque année survient courant novembre. L’agence des pêches japonaises espère que ce maquillage express tiendra 10 ans.
Le Nisshin Maru est vieux. Il a été lancé en 1987.