Le Gino ?
Suite aux informations sur l’identification des hydrocarbures échoués le 24 septembre 2005 sur le littoral de Charente-Maritime et de Gironde, nous rappelons que le Gino battant pavillon libérien transportait 40.000 t de noir de carbone. A la suite d’une collision avec le pétrolier norvégien Team Castor, il a coulé le 28 avril 1979 à 60 km à l’Ouest du Finistère. L’épave du Gino était fuyarde après le naufrage et plus de 10.000 t de noir de carbone se sont déversés sur les fonds marins. Le périmètre de l’épave a longtemps fait l’objet de surveillances régulières de la Marine Nationale et de campagnes de prélèvements de sédiments visant à mesurer l’impact des pollutions par Ifremer. Des rapprochements entre le noir de carbone transporté par le Gino et des échantillons de noir de carbone collectés sur les plages permettraient de lever le doute sur cette origine potentielle.
Tricolor : un chantier en déséquilibre
Les délais annoncés par les opérateurs de CBT (Combinatie Berging Tricolor) et la Préfecture Maritime ne seront pas tenus. Les autorités françaises, qui ont la responsabilité de la sécurité sur zone, doivent en liaison avec leurs homologues européens et avec les armateurs norvégiens organiser et renforcer les dispositifs de balisage et de signalement de l’épave du Tricolor pendant l’hiver prochain.
Tricolor : un chantier en déséquilibre
Les délais annoncés par les opérateurs de CBT (Combinatie Berging Tricolor) et la Préfecture Maritime ne seront pas tenus. Les autorités françaises, qui ont la responsabilité de la sécurité sur zone, doivent en liaison avec leurs homologues européens et avec les armateurs norvégiens organiser et renforcer les dispositifs de balisage et de signalement de l’épave du Tricolor pendant l’hiver prochain.
Tricolor : un chantier en déséquilibre
Les délais annoncés par les opérateurs de CBT (Combinatie Berging Tricolor) et la Préfecture Maritime ne seront pas tenus. Les autorités françaises, qui ont la responsabilité de la sécurité sur zone, doivent en liaison avec leurs homologues européens et avec les armateurs norvégiens organiser et renforcer les dispositifs de balisage et de signalement de l’épave du Tricolor pendant l’hiver prochain.
Un embouteillage au fond du détroit du Pas-de-Calais
Le mode opératoire du relèvement du Tricolor laisse tomber voitures et engins de chantiers à la pelle. La priorité des autorités françaises est d’être libérées dans les meilleurs délais des obligations de signalisation de l’épave et des responsabilités afférentes.
Robin des Bois rappelle donc que l’immersion des déchets automobiles (hydrocarbures, fluides toxiques, plastiques et autres matériaux non-biodégradables) est interdite par la Convention internationale Ospar relative à la prévention des pollutions dans l’Atlantique Nord et souhaite que soit diffusé régulièrement un inventaire de toutes les voitures ramenées à terre, et que des images sous-marines du site pollué soient diffusées.