Les baleines noires
Communiqué n°3
Commission Baleinière Internationale
21-25 juin 2010 Agadir – Maroc
Les baleines noires
Communiqué n°3
Commission Baleinière Internationale
21-25 juin 2010 Agadir – Maroc
Les baleines noires
Communiqué n°3
Commission Baleinière Internationale
21-25 juin 2010 Agadir – Maroc
Les baleines prises en sandwich
Communiqué n°2
Commission Baleinière Internationale
21-25 juin 2010 Agadir – Maroc
Un plateau de propositions contradictoires est sur la table de la Commission Baleinière Internationale à Agadir.
Il est présumé aider la C.B.I. à sortir du marasme et du statu quo que certaines parties prenantes – ONG et Etats Membres – lui reprochent. « L’éclatement » de la commission est brandi d’année en année comme un épouvantail. Et si c’était le contraire ! En dehors de la convention, le Japon ne pourrait plus se prévaloir de son article 8 autorisant la chasse à des fins scientifiques et serait clairement le seul pirate en Antarctique ou dans les autres sanctuaires où son armada s’aviserait de chasser la baleine.
Voulez-vous que l’Europe finance la reprise de la chasse à la baleine ?
Communiqué n°1
Commission Baleinière Internationale
21-25 juin 2010 Agadir – Maroc
La 62ème session plénière de la Commission Baleinière Internationale se tient à Agadir du 21 au 25 juin. Elle devrait se prononcer sur un faux-semblant de compromis dadaïste et hypocrite qui pendant 10 ans entérinerait les chasses japonaise, norvégienne et islandaise, de l’Arctique à l’Antarctique. Ce document, fruit hybride d’une concertation entre quelques Etats membres de la CBI, cite parmi les espèces-cibles les rorquals communs, les rorquals de Minke, les baleines à bosse, les baleines franches, les rorquals de Bryde, les rorquals de Sei et les cachalots. Bien sûr, la reprise de la chasse sera labellisée et certifiée par la présence d’observateurs embarqués sur les bateaux-abattoirs. Ils ne seront pas bénévoles. Leur salaire officiel sera à la charge de la CBI et les pays européens membres verraient leurs cotisations cumulées passer de 800.000 à 1.500.000 euros par an. Des efforts seront aussi déployés et financés pour que les baleines ne soient pas au moment de leur capture et de leur achèvement exposées à des souffrances inutiles. Tout sera organisé pour que le bien être des baleines soit assuré quand elles seront harponnées.