Le Japon contre attaque
Note d’information n°4
Les baleines devant la Cour Internationale de Justice
La Haye, Pays-Bas, 1ère audience du Japon, 2-3 juillet
Le Japon, en tant qu’archipel, conscient de bénéficier des richesses marines, affirme qu’il “serait le dernier à faire une mauvaise utilisation des ressources baleinières”. Le Japon remonte le temps en expliquant qu’il a adhéré à la Commission Baleinière Internationale (CBI) en 1951 “à une époque où, après les destructions de la guerre, la viande de baleine a empêché la famine” à un pays pauvre en ressources agricoles. Il est remonté encore plus loin et a pointé l’ironie de l’histoire puisque c’est la chasse à la baleine qui l’a forcé à rejoindre la communauté internationale après 3 siècles d’isolement : selon le Japon, au 19ème siècle “les puissances maritimes engagées dans une chasse massive à la baleine lui ont demandé d’ouvrir ses ports pour permettre le ravitaillement des navires baleiniers”. Or c’est précisément la chasse à la baleine qui pose aujourd’hui le problème de la position du Japon dans la communauté internationale et de la conformité de ses pratiques aux lois internationales ; elle l’amène ainsi, pour la première fois, devant la Cour Internationale de Justice.
Le Japon contre attaque
Note d’information n°4
Les baleines devant la Cour Internationale de Justice
La Haye, Pays-Bas, 1ère audience du Japon, 2-3 juillet
Le Japon, en tant qu’archipel, conscient de bénéficier des richesses marines, affirme qu’il “serait le dernier à faire une mauvaise utilisation des ressources baleinières”. Le Japon remonte le temps en expliquant qu’il a adhéré à la Commission Baleinière Internationale (CBI) en 1951 “à une époque où, après les destructions de la guerre, la viande de baleine a empêché la famine” à un pays pauvre en ressources agricoles. Il est remonté encore plus loin et a pointé l’ironie de l’histoire puisque c’est la chasse à la baleine qui l’a forcé à rejoindre la communauté internationale après 3 siècles d’isolement : selon le Japon, au 19ème siècle “les puissances maritimes engagées dans une chasse massive à la baleine lui ont demandé d’ouvrir ses ports pour permettre le ravitaillement des navires baleiniers”. Or c’est précisément la chasse à la baleine qui pose aujourd’hui le problème de la position du Japon dans la communauté internationale et de la conformité de ses pratiques aux lois internationales ; elle l’amène ainsi, pour la première fois, devant la Cour Internationale de Justice.
Australie contre Japon
Note d’information n°1
Les baleines devant la Cour Internationale de Justice
L’Australie se fait porte-parole des baleines en attaquant la « chasse scientifique » japonaise devant la Cour Internationale de Justice de La Haye aux Pays-Bas. Les auditions du dossier « Chasse à la Baleine dans l’Antarctique » (Australie c. Japon ; Nouvelle Zélande intervenant) vont se dérouler pendant 3 semaines. L’arrêt sera rendu d’ici 4 à 8 mois. L’Australie espère que la décision sera prise d’ici 5 mois, avant la prochaine saison de chasse dans l’Océan Austral.
Australie contre Japon
Note d’information n°1
Les baleines devant la Cour Internationale de Justice
L’Australie se fait porte-parole des baleines en attaquant la « chasse scientifique » japonaise devant la Cour Internationale de Justice de La Haye aux Pays-Bas. Les auditions du dossier « Chasse à la Baleine dans l’Antarctique » (Australie c. Japon ; Nouvelle Zélande intervenant) vont se dérouler pendant 3 semaines. L’arrêt sera rendu d’ici 4 à 8 mois. L’Australie espère que la décision sera prise d’ici 5 mois, avant la prochaine saison de chasse dans l’Océan Austral.