Pêche à pied : 108, 112, 116, les coefficients du déferlement
A l’occasion des prochaines grandes marées de fin août et fin septembre, les pêcheurs à pied vont déferler sur l’estran. 1,8 million de français pratiquent la pêche à pied (1). Le temps d’une marée basse, ils vont chasser, dénicher, cueillir, défouir coquillages et crustacés. Les espèces préférées sont les étrilles, les tourteaux, les crevettes, les moules, les bigorneaux, les huitres, les ormeaux et les bulots sur les estrans rocheux et les palourdes, les coques, les praires et les couteaux sur les estrans sableux. Considérée comme une aubaine parce qu’elle est gratuite et comme un droit inné et intouchable, la pêche à pied coûte très cher à la biodiversité.
Pêche à pied : 108, 112, 116, les coefficients du déferlement
A l’occasion des prochaines grandes marées de fin août et fin septembre, les pêcheurs à pied vont déferler sur l’estran. 1,8 million de français pratiquent la pêche à pied (1). Le temps d’une marée basse, ils vont chasser, dénicher, cueillir, défouir coquillages et crustacés. Les espèces préférées sont les étrilles, les tourteaux, les crevettes, les moules, les bigorneaux, les huitres, les ormeaux et les bulots sur les estrans rocheux et les palourdes, les coques, les praires et les couteaux sur les estrans sableux. Considérée comme une aubaine parce qu’elle est gratuite et comme un droit inné et intouchable, la pêche à pied coûte très cher à la biodiversité.
Pêche à pied : 108, 112, 116, les coefficients du déferlement
A l’occasion des prochaines grandes marées de fin août et fin septembre, les pêcheurs à pied vont déferler sur l’estran. 1,8 million de français pratiquent la pêche à pied (1). Le temps d’une marée basse, ils vont chasser, dénicher, cueillir, défouir coquillages et crustacés. Les espèces préférées sont les étrilles, les tourteaux, les crevettes, les moules, les bigorneaux, les huitres, les ormeaux et les bulots sur les estrans rocheux et les palourdes, les coques, les praires et les couteaux sur les estrans sableux. Considérée comme une aubaine parce qu’elle est gratuite et comme un droit inné et intouchable, la pêche à pied coûte très cher à la biodiversité.