Un pacifique entre deux guerres
Bangkok – Convention sur le commerce international d’espèces animales et végétales menacées d’extinction (CITES ou Convention de Washington)
Par voie de résolution, le Parlement Européen vient de demander aux pays-membres de l’Union et à la Commission d’appliquer le principe de précaution à la prochaine CITES, et de soutenir la proposition du Kenya pour un moratoire de 20 ans sur le commerce international de l’ivoire. 12 pays africains ont déjà exprimé leur soutien à cette proposition en juin dernier à Paris. La France a annoncé qu’elle la soutenait également mais sous certaines réserves notamment sur la durée du moratoire. La 13ème Conférence des Parties de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES ou Convention de Washington) se tiendra à Bangkok du 2 au 14 octobre 2004, en présence de 166 pays-membres, de nombreux groupes de défense des chasseurs ou des chassés et de Robin des Bois.
Utimes décisions
Convention sur le Commerce International des Espèces de Faune et de Flore sauvages menacées d’extinction
CITES 2002 – Santiago du Chili
Suite au communiqué de Robin des bois en date du 14 Novembre, intitulé “Feu vert pour le pillage en mer”, il est plus pertinent aujourd’hui de parler de “feu orange”. En effet, à la suite d’un retournement inattendu mais souhaité par toutes les ONG observatrices à la CITES, la dernière réunion plénière réunie aujourd’hui à Santiago du Chili a décidé d’inscrire le requin baleine et le requin pèlerin en annexe II, ce qui obligera les pays exportateurs et importateurs à délivrer des certificats d’exportation et d’importation.
Utimes décisions
Convention sur le Commerce International des Espèces de Faune et de Flore sauvages menacées d’extinction
CITES 2002 – Santiago du Chili
Suite au communiqué de Robin des bois en date du 14 Novembre, intitulé “Feu vert pour le pillage en mer”, il est plus pertinent aujourd’hui de parler de “feu orange”. En effet, à la suite d’un retournement inattendu mais souhaité par toutes les ONG observatrices à la CITES, la dernière réunion plénière réunie aujourd’hui à Santiago du Chili a décidé d’inscrire le requin baleine et le requin pèlerin en annexe II, ce qui obligera les pays exportateurs et importateurs à délivrer des certificats d’exportation et d’importation.
Compromis éléphantesque
Convention sur le Commerce International des Espèces de Faune et de Flore sauvages menacées d’extinction
CITES 2002 – Santiago du Chili, 19 heures
Les demandes d’exportation d’ivoire d’éléphants soumises aux pays membres de la CITES par l’Afrique du Sud (30 tonnes), le Bostwana (20 tonnes) et la Namibie (10 tonnes), viennent d’être acceptées, mais seulement pour l’ivoire déjà sur les étagères ; les demandes de quotas pluriannuels qui devaient suivre ont été retirées ce matin. Ces exportations assorties de conditions ne pourront intervenir que dans 18 mois. Le Zimbabwe s’est vu refuser sa demande d’exportation de 10 tonnes d’ivoire et les populations d’éléphants de la Zambie restent en Annexe I ce qui leur assure une protection intégrale théorique. Ces décisions devraient être définitives, sauf si des Etats souhaitent leurs réexamens en réunion plénière avant la clôture de la 12ème session des Parties de la CITES qui interviendra vendredi. Le Zimbabwe, le Bostwana et la Namibie avaient déjà eu le droit en 1997 d’écouler leurs stocks d’ivoire, pour une première ” vente unique expérimentale” et vers un seul destinataire : le Japon.
Le sommet de la défense à Santiago
Convention sur le Commerce International des Espèces de Faune et de Flore sauvages menacées d’extinction
CITES 2002 – Santiago du Chili
Les carnages industriels et la massification des violences humaines font passer au second plan l’état de la faune sauvage confrontée dans ses dernières réserves au pillage international, à la frénésie des collectionneurs et au financement des guerres ou des troubles par le commerce des ressources naturelles. C’est pourquoi la réunion de la Convention de Washington (CITES) qui s’ouvre le 3 novembre à Santiago du Chili en présence des délégations des 159 pays-membres, des principales organisations non-gouvernementales impliquées dans le commerce des plantes et des animaux ou dans la protection des plantes et des animaux revêt un intérêt exceptionnel. Les discussions et votes qui interviendront sur l’éléphant et la légine, un poisson austral convoité par tous les mareyeurs de l’hémisphère sud et de l’hémisphère nord, témoigneront ou non de la volonté de la communauté internationale et de sa compétence à juguler les prédations et à préserver la biodiversité.