Incendie à La Courneuve : plusieurs millions de victimes
Les habitants d’Ile-de-France sont encore une fois victimes de l’incendie d’un entrepôt commercial contenant plusieurs milliers de tonnes de matériaux synthétiques. C’est une réplique de l’incendie du 16 février 2012 déjà à La Courneuve. Ces événements se reproduisent régulièrement dans un habitat urbain dense où cohabitent dangereusement la logistique et les populations.
Robin des Bois demande au Ministère de l’Ecologie et à Airparif de déclencher immédiatement un protocole de suivi de cette pollution atmosphérique supplémentaire et d’en évaluer les conséquences sanitaires et environnementales. Les cendres et autres déchets devront être considérés comme des déchets dangereux.
Incendie en Seine-Saint-Denis
L’incendie est circonscrit mais les pollutions atmosphériques ne le sont pas. La combustion sauvage d’un entrepôt de textiles synthétiques dégage un panache de poussières, de métaux lourds, de composés toxiques et de dioxines. Ces évènements se reproduisent régulièrement dans un habitat urbain dense où cohabitent dangereusement la logistique et les populations.
Robin des Bois souhaite que la préfecture de Seine-Saint-Denis, Airparif et le Ministère de l’Ecologie déclenchent un protocole de suivi de cette pollution atmosphérique et en évaluent les conséquences sanitaires et environnementales. Sur site, les déchets de l’incendie doivent être considérés comme des déchets dangereux.
Incendie en Seine-Saint-Denis
L’incendie est circonscrit mais les pollutions atmosphériques ne le sont pas. La combustion sauvage d’un entrepôt de textiles synthétiques dégage un panache de poussières, de métaux lourds, de composés toxiques et de dioxines. Ces évènements se reproduisent régulièrement dans un habitat urbain dense où cohabitent dangereusement la logistique et les populations.
Robin des Bois souhaite que la préfecture de Seine-Saint-Denis, Airparif et le Ministère de l’Ecologie déclenchent un protocole de suivi de cette pollution atmosphérique et en évaluent les conséquences sanitaires et environnementales. Sur site, les déchets de l’incendie doivent être considérés comme des déchets dangereux.
Les Tchernobyl des phosphates
Objet : Déchets faiblement radioactifs
Trois usines d’engrais sont en cours de démolition dans les zones industrielles du Havre, de Rouen et d’Orange. Elles dissimulent des zones contrôlées ou incontrôlées où la radioactivité est susceptible de présenter des dangers d’irradiation ou de contamination. Pourtant aucun de ces ateliers ne fait l’objet d’une fiche dans l’inventaire national des déchets radioactifs publié en juillet 1995.
L’ANDRA (l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs) y remarque seulement que “plusieurs alertes récentes ont fait découvrir des ferrailles contaminées par des dépôts de radium qui proviennent ou semblent provenir de démantèlement d’usines de fabrication de phosphates”.