Grosbreuil – Grossgaff
Objet: soutien de Robin des Bois à la manifestation d’opposition à l’incinérateur – samedi 29 novembre.
L’implantation d’un incinérateur de 190.000 t/an dans une commune rurale qui doit en produire 500 t/an est une injustice sociale et une non-conformité à la loi de 1992 relative à la gestion et à la valorisation des déchets. En effet, les incinérateurs de cette taille sont implantés en périphérie des métropoles régionales comme Rouen, Toulouse, Nantes et alimentent des réseaux de chaleur contribuant au fonctionnement d’usines voisines ou du chauffage urbain.
Port Diélette : le port des risque-tout
Objet : Port de plaisance de Diélette – Flamanville (Manche)
Le projet de port de plaisance et de pôle touristique tel qu’il est présenté à l’enquête publique jusqu’au 28 août dans les communes des Pieux, de Flamanville et de Tréauville cumule les risques :
Risques économiques :
L’étude de marché est fantaisiste et incohérente. En ce qui concerne la desserte des îles anglo-normandes, elle s’appuie sur le trafic “prometteur” de 1990 et 91 du Sea-Fox dont l’armateur en 1993 a fait faillite. Un navire roulier (roll-on-roll-off de 40 à 60 m de long) d’Emeraude Lines est évoqué, représentant l’assurance d’un trafic de marchandises et justifiant l’édification du quai du commerce. Or, Emeraude Lines ferait éventuellement des touchées dans Port Diélette avec un catamaran exclusivement passager de 25 mètres. Enfin, le coefficient de remplissage du port calculé en 1991 ne tient pas compte du marasme de la plaisance et affirme que les plaisanciers en liste d’attente sur Granville et Cherbourg se reporteront sur Diélette. Act Ouest, le bureau d’étude malouin ne sait peut-être pas que Diélette est l’un des havres les plus agités du Cotentin Ouest et que, à la différence de Cherbourg et de Granville, Diélette n’est pas relié à Paris par turbo train, ni à l’Angleterre par des navettes ferry.
Port Diélette : le port des risque-tout
Objet : Port de plaisance de Diélette – Flamanville (Manche)
Le projet de port de plaisance et de pôle touristique tel qu’il est présenté à l’enquête publique jusqu’au 28 août dans les communes des Pieux, de Flamanville et de Tréauville cumule les risques :
Risques économiques :
L’étude de marché est fantaisiste et incohérente. En ce qui concerne la desserte des îles anglo-normandes, elle s’appuie sur le trafic “prometteur” de 1990 et 91 du Sea-Fox dont l’armateur en 1993 a fait faillite. Un navire roulier (roll-on-roll-off de 40 à 60 m de long) d’Emeraude Lines est évoqué, représentant l’assurance d’un trafic de marchandises et justifiant l’édification du quai du commerce. Or, Emeraude Lines ferait éventuellement des touchées dans Port Diélette avec un catamaran exclusivement passager de 25 mètres. Enfin, le coefficient de remplissage du port calculé en 1991 ne tient pas compte du marasme de la plaisance et affirme que les plaisanciers en liste d’attente sur Granville et Cherbourg se reporteront sur Diélette. Act Ouest, le bureau d’étude malouin ne sait peut-être pas que Diélette est l’un des havres les plus agités du Cotentin Ouest et que, à la différence de Cherbourg et de Granville, Diélette n’est pas relié à Paris par turbo train, ni à l’Angleterre par des navettes ferry.