Dans la ville interdite de Tomsk-7
Introduction
En avril 2012, une délégation du Haut Comité pour la Transparence et l’Information sur la Sécurité Nucléaire s’est rendue à l’invitation des Autorités russes dans la ville interdite de Seversk. En fait, Seversk (la ville du Nord) ne porte ce nom que depuis quelques années neuves. Son vrai nom, c’est Tomsk-7, la ville et le complexe atomiques des architectes, des scientifiques et des militaires de Staline. Dans ce haut lieu de la guerre froide, la délégation française a reçu un accueil scrutateur et chaleureux.
Dans la ville interdite de Tomsk-7
Introduction
En avril 2012, une délégation du Haut Comité pour la Transparence et l’Information sur la Sécurité Nucléaire s’est rendue à l’invitation des Autorités russes dans la ville interdite de Seversk. En fait, Seversk (la ville du Nord) ne porte ce nom que depuis quelques années neuves. Son vrai nom, c’est Tomsk-7, la ville et le complexe atomiques des architectes, des scientifiques et des militaires de Staline. Dans ce haut lieu de la guerre froide, la délégation française a reçu un accueil scrutateur et chaleureux.
Ça bouge en Arctique
Le 7 juillet 2011, un accord sur la frontière maritime entre la Russie et la Norvège est entré en vigueur. Cette nouvelle ligne de démarcation clôt un différend de 44 ans à propos de 175.000 km² dans la mer de Barents et l’océan glacial arctique et ouvre ce qu’il est convenu d’appeler « une zone grise » pour l’exploration des ressources fossiles. Le lendemain de l’entrée en vigueur de cet accord, la Norvège a dépêché sur zone le navire de recherches sismiques Harrier Explorer (OMI 7807380).
Ça bouge en Arctique
Le 7 juillet 2011, un accord sur la frontière maritime entre la Russie et la Norvège est entré en vigueur. Cette nouvelle ligne de démarcation clôt un différend de 44 ans à propos de 175.000 km² dans la mer de Barents et l’océan glacial arctique et ouvre ce qu’il est convenu d’appeler « une zone grise » pour l’exploration des ressources fossiles. Le lendemain de l’entrée en vigueur de cet accord, la Norvège a dépêché sur zone le navire de recherches sismiques Harrier Explorer (OMI 7807380).
Incendies de forêts : attention, retombées radioactives
Objet: incendies en Russie
Les incendies de forêts et les brûlis agricoles sont une source majeure de pollution atmosphérique et de gaz à effet de serre que le professeur Robert Harrison dans son ouvrage « Forêts, essai sur l’imaginaire occidental » propose d’appeler « effet de fièvre ».
La Russie est orfèvre en la matière. Les observations satellitaires démontrent que l’étendue des feux de forêts est toujours dans ce pays minorée par les autorités. 2 millions d’hectares déclarés en 2003, 14 millions observés. En été 2006, les cendres et les suies des incendies dans la région de Saint-Pétersbourg ont provoqué une concentration importante de particules et une pollution atmosphérique en Finlande, en Ecosse et dans le Nord de l’Angleterre. Les incendies de forêts sont une source importante de remobilisation atmosphérique du mercure.