Résultat de la recherche pour Grande America

CITES 2010 – Doha Communiqué n°3

17 mars 2010

CITES 2010 – Doha  Communiqué n°3

Un parfum de bois de rose plane sur la CITES

Ce matin, la 15ème Conférence des Parties à la CITES a décidé par consensus d’approuver la proposition brésilienne d’inscrire le bois de rose (Aniba rosaeodora) à l’annexe 2. Le commerce international de l’huile essentielle de bois de rose sera dorénavant contrôlé dans les pays exportateurs et les pays importateurs. L’inscription prévoit l’exclusion des produits finis, emballés et prêts au commerce de détail. Mesdames, Mesdemoiselles, vous n’aurez pas besoin d’un permis CITES pour voyager avec votre n°5.

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Le précédent Ixtoc 1

17 mai 2010

Note d’information n° 1
Marée noire dans le golfe du Mexique

A partir du 3 juin 1979, le golfe du Mexique subit un désastre écologique et économique dû à l’explosion d’une plate-forme d’exploration du gisement de pétrole IXTOC 1 dans la baie de Campeche. La SEDCO 135, une plate-forme semi-submersible travaille pour le compte de Petroleos Mexicanos (PEMEX). Le plancher de la mer est à moins 52 mètres. Le jour du sinistre, le forage atteint moins 3.657 mètres de profondeur sous les sédiments marins. Une anomalie dans l’injection des boues de forage qui maintiennent le pétrole dans sa cavité géologique sous-marine a provoqué l’éruption du brut au fond de la mer. Le dispositif de fermeture de la tête du puits (BlowOut Preventer, BOP) n’a pas fonctionné. Les vapeurs explosives ont enflammé la plate-forme qui a coulé, recouvert la tête du puits et répandu 3.000 mètres de tuyaux et une nappe de déchets au fond de la mer. La fuite initiale est estimée à 30.000 barils soit 4.770 tonnes par jour. Une intervention de plongeurs sous-marins et de robots pilotés par Red Adair et d’autres experts réussit à enclencher le BOP. Mais la pression est telle que le pétrole arrache les soupapes de sécurité et l’ensemble du dispositif de fermeture.

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17 mai 2010

Note d’information n° 1
Marée noire dans le golfe du Mexique

A partir du 3 juin 1979, le golfe du Mexique subit un désastre écologique et économique dû à l’explosion d’une plate-forme d’exploration du gisement de pétrole IXTOC 1 dans la baie de Campeche. La SEDCO 135, une plate-forme semi-submersible travaille pour le compte de Petroleos Mexicanos (PEMEX). Le plancher de la mer est à moins 52 mètres. Le jour du sinistre, le forage atteint moins 3.657 mètres de profondeur sous les sédiments marins. Une anomalie dans l’injection des boues de forage qui maintiennent le pétrole dans sa cavité géologique sous-marine a provoqué l’éruption du brut au fond de la mer. Le dispositif de fermeture de la tête du puits (BlowOut Preventer, BOP) n’a pas fonctionné. Les vapeurs explosives ont enflammé la plate-forme qui a coulé, recouvert la tête du puits et répandu 3.000 mètres de tuyaux et une nappe de déchets au fond de la mer. La fuite initiale est estimée à 30.000 barils soit 4.770 tonnes par jour. Une intervention de plongeurs sous-marins et de robots pilotés par Red Adair et d’autres experts réussit à enclencher le BOP. Mais la pression est telle que le pétrole arrache les soupapes de sécurité et l’ensemble du dispositif de fermeture.

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Ouf ! Le compromis fait plouf !

23 juin 2010

Communiqué n°4
Commission Baleinière Internationale
21-25 juin 2010 Agadir – Maroc

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Incendies de forêts : attention, retombées radioactives

13 août 2010

Incendies de forêts : attention, retombées radioactives

Objet : suite du communiqué du 3 août 2010

Le site Arzamas 16 est menacé par les incendies de forêt depuis la mi-juillet 2010. La localisation des stockages et enfouissements de déchets est inconnue. La gestion actuelle des stockages de plutonium, d’uranium enrichi, des bombes atomiques fait l’objet de communiqués contradictoires. Le site à vocation militaire est en activité depuis 1946. Pendant plus d’un demi siècle, les expériences et activités nucléaires ont marqué le site d’une empreinte indélébile (voir document photographique). L’attaque par le feu des secteurs stratégiques et radioactifs pourrait être un évènement majeur et provoquer une contamination planétaire. L’impuissance du gouvernement russe et des services de secours à prévenir les incendies autour de ce site sensible et à les maîtriser est flagrante.

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Incendies de forêts : attention, retombées radioactives (bis)

13 août 2010

Incendies de forêts : attention, retombées radioactives (bis)

Objet : suite du communiqué du 3 août 2010

Le site Arzamas 16 est menacé par les incendies de forêt depuis la mi-juillet 2010. La localisation des stockages et enfouissements de déchets est inconnue. La gestion actuelle des stockages de plutonium, d’uranium enrichi, des bombes atomiques fait l’objet de communiqués contradictoires. Le site à vocation militaire est en activité depuis 1946. Pendant plus d’un demi siècle, les expériences et activités nucléaires ont marqué le site d’une empreinte indélébile (voir document photographique). L’attaque par le feu des secteurs stratégiques et radioactifs pourrait être un évènement majeur et provoquer une contamination planétaire. L’impuissance du gouvernement russe et des services de secours à prévenir les incendies autour de ce site sensible et à les maîtriser est flagrante.

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Incendies de forêts : attention, retombées radioactives (bis)

13 août 2010

Incendies de forêts : attention, retombées radioactives (bis)

Objet : suite du communiqué du 3 août 2010

Le site Arzamas 16 est menacé par les incendies de forêt depuis la mi-juillet 2010. La localisation des stockages et enfouissements de déchets est inconnue. La gestion actuelle des stockages de plutonium, d’uranium enrichi, des bombes atomiques fait l’objet de communiqués contradictoires. Le site à vocation militaire est en activité depuis 1946. Pendant plus d’un demi siècle, les expériences et activités nucléaires ont marqué le site d’une empreinte indélébile (voir document photographique). L’attaque par le feu des secteurs stratégiques et radioactifs pourrait être un évènement majeur et provoquer une contamination planétaire. L’impuissance du gouvernement russe et des services de secours à prévenir les incendies autour de ce site sensible et à les maîtriser est flagrante.

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Baleines Nagoya Blabla

29 oct. 2010

Baleines Nagoya Blabla

La Conférence de Nagoya sur la biodiversité s’achève aujourd’hui au Japon alors qu’au mois de novembre la flotte japonaise partira en Antarctique chasser 1.000 baleines. Depuis 1986, date d’entrée en vigueur du moratoire sur la chasse commerciale, le Japon a tué 13.210 baleines au nom de la science, dont près de 10.000 en Antarctique, sanctuaire baleinier depuis 1994. Au vu de l’état de la flotte japonaise, c’est toute la biodiversité Antarctique qui est menacée par une marée noire.

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Baleines Nagoya Blabla

29 oct. 2010

Baleines Nagoya Blabla

La Conférence de Nagoya sur la biodiversité s’achève aujourd’hui au Japon alors qu’au mois de novembre la flotte japonaise partira en Antarctique chasser 1.000 baleines. Depuis 1986, date d’entrée en vigueur du moratoire sur la chasse commerciale, le Japon a tué 13.210 baleines au nom de la science, dont près de 10.000 en Antarctique, sanctuaire baleinier depuis 1994. Au vu de l’état de la flotte japonaise, c’est toute la biodiversité Antarctique qui est menacée par une marée noire.

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Les poissons mangent les baleines

12 juil. 2011

63ème réunion plénière de la Commission Baleinière Internationale Jersey 11 – 14 juillet 2011
Communiqué n°2

Les partisans de la chasse à la baleine disent à satiété que les baleines doivent être régulées pour éviter la compétition avec les activités de pêche. Les documents issus de la chasse « scientifique » japonaise débordent d’estomacs de baleines pleins de petits poissons pélagiques. Pour Robin des Bois, défenseur des baleines, le temps est venu de démontrer avec objectivité que les baleines ont de nombreux effets positifs sur l’ensemble de l’écosystème marin et même hors mer, on ne peut pas reprocher aux baleines de tout prendre et de ne rien rendre à l’usage des hommes qui effectivement prennent tout à la mer et ne lui rendent rien, si ce n’est des pollutions multiples et des nuisances en croissance.

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