L’Amoco Cadiz sur les bords de la Loire
D’après des informations recueillies sur place à la fin de la semaine dernière et confirmées aujourd’hui par la DRIRE (Direction Régionale de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement) des Pays de Loire, il s’avère qu’environ 3.000* tonnes de déchets sableux souillés aux hydrocarbures de l’Amoco Cadiz sont stockés sur une parcelle du Port Autonome de Nantes-Saint-Nazaire. Ce stockage a été autorisé à titre provisoire par arrêté préfectoral signé en 1978. Ces déchets sont censés ne pas contenir plus de 5% d’hydrocarbures, la surveillance par piezomètres effectuée jusqu’en 1988 n’a pas révélé de pollution des eaux souterraines, selon les autorités.
L’Amoco Cadiz sur les bords de la Loire
D’après des informations recueillies sur place à la fin de la semaine dernière et confirmées aujourd’hui par la DRIRE (Direction Régionale de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement) des Pays de Loire, il s’avère qu’environ 3.000* tonnes de déchets sableux souillés aux hydrocarbures de l’Amoco Cadiz sont stockés sur une parcelle du Port Autonome de Nantes-Saint-Nazaire. Ce stockage a été autorisé à titre provisoire par arrêté préfectoral signé en 1978. Ces déchets sont censés ne pas contenir plus de 5% d’hydrocarbures, la surveillance par piezomètres effectuée jusqu’en 1988 n’a pas révélé de pollution des eaux souterraines, selon les autorités.
Bon anniversaire ! L’Amoco Cadiz et le Torrey Canyon bougent encore
31 ans et 20 ans après les naufrages du Torrey Canyon (18 mars 1967) sur les côtes de la Manche et de l’Amoco Cadiz (10 mars 1978) sur les côtes bretonnes, des résidus pétroliers issus du ramassage des hydrocarbures sur le littoral constituent aujourd’hui encore des menaces pour l’environnement.
Plusieurs milliers de tonnes confinées dans 5 cuves fuyardes implantées dans le port de la Rochelle constituent un “point noir” répertorié dans le dernier recensement national des sites et sols pollués. Ils proviennent du naufrage de l’Amoco Cadiz, de même que les résidus stockés dans une lagune de produits de déballastage appartenant à la Compagnie Française des Asphaltes dans le port de Brest. Le mauvais état de la membrane plastique d’étanchéité du bassin contribue à la migration des hydrocarbures et à la dégradation de la qualité des eaux et des sédiments de la rade de Brest.
Bon anniversaire ! L’Amoco Cadiz et le Torrey Canyon bougent encore
31 ans et 20 ans après les naufrages du Torrey Canyon (18 mars 1967) sur les côtes de la Manche et de l’Amoco Cadiz (10 mars 1978) sur les côtes bretonnes, des résidus pétroliers issus du ramassage des hydrocarbures sur le littoral constituent aujourd’hui encore des menaces pour l’environnement.
Plusieurs milliers de tonnes confinées dans 5 cuves fuyardes implantées dans le port de la Rochelle constituent un “point noir” répertorié dans le dernier recensement national des sites et sols pollués. Ils proviennent du naufrage de l’Amoco Cadiz, de même que les résidus stockés dans une lagune de produits de déballastage appartenant à la Compagnie Française des Asphaltes dans le port de Brest. Le mauvais état de la membrane plastique d’étanchéité du bassin contribue à la migration des hydrocarbures et à la dégradation de la qualité des eaux et des sédiments de la rade de Brest.
Amoco Cadiz, Kharg V, Haven : le trio infernal
Le Haven, construit en 1973, est le sister-ship de l’Amoco Cadiz, naufragé en Bretagne le 16 mars 1978. Il a été construit dans le même chantier espagnol, d’après les mêmes plans.
Comme le Kharg V, victime d’une explosion dans la nuit du 19 décembre 1989 et responsable d’une marée noire au large des côtes marocaines, le Haven est un éclopé de la guerre Iran-Irak.