La consternation de l’ours blanc
L’ours polaire (Ursus maritimus) est un mammifère marin qui se nourrit d’autres mammifères marins. Il vit pour l’essentiel sur la banquise arctique, sur les glaces de mer et en mer ouverte. C’est un excellent nageur. La banquise, le domaine vital de l’ours polaire, est en régression. Les prédations et les risques mortels pour les ours polaires sont en augmentation.
L’ours blanc fait fondre les cœurs. Les gouvernements et les ONG l’exploitent comme emblème et martyr du réchauffement climatique. L’ours blanc est devenu un top-model et un bailleur de fonds.
La consternation de l’ours blanc
L’ours polaire (Ursus maritimus) est un mammifère marin qui se nourrit d’autres mammifères marins. Il vit pour l’essentiel sur la banquise arctique, sur les glaces de mer et en mer ouverte. C’est un excellent nageur. La banquise, le domaine vital de l’ours polaire, est en régression. Les prédations et les risques mortels pour les ours polaires sont en augmentation.
L’ours blanc fait fondre les cœurs. Les gouvernements et les ONG l’exploitent comme emblème et martyr du réchauffement climatique. L’ours blanc est devenu un top-model et un bailleur de fonds.
Une brassière de sauvetage pour l’ambassadeur de France en Arctique.
Une nouvelle fois, il n’a pas pu dire non à l’invitation d’un armateur à une croisière en milieu polaire. Michel Rocard, ambassadeur de France pour les pôles arctique et antarctique embarque le 4 septembre à Iqualit dans l’Arctique canadien pour 11 jours à bord du Boréal.
Ce voyage n’est pas sans risque pour les passagers et pour l’environnement. Il y a un an exactement dans les mêmes eaux, le Clipper Adventurer s’est échoué sur un récif (1). Les 197 passagers et membres de l’équipage ont dû attendre 48 heures sur le navire en détresse avant de commencer à être évacués. Les moyens d’assistance et de renflouement du Canada comme des autres Etats riverains de l’océan Glacial arctique sont déficients. L’armateur a attaqué en justice le gouvernement canadien pour erreur dans les relevés cartographiques. A ce jour, seulement 10% de l’océan Arctique est correctement cartographié.
Une brassière de sauvetage pour l’ambassadeur de France en Arctique.
Une nouvelle fois, il n’a pas pu dire non à l’invitation d’un armateur à une croisière en milieu polaire. Michel Rocard, ambassadeur de France pour les pôles arctique et antarctique embarque le 4 septembre à Iqualit dans l’Arctique canadien pour 11 jours à bord du Boréal.
Ce voyage n’est pas sans risque pour les passagers et pour l’environnement. Il y a un an exactement dans les mêmes eaux, le Clipper Adventurer s’est échoué sur un récif (1). Les 197 passagers et membres de l’équipage ont dû attendre 48 heures sur le navire en détresse avant de commencer à être évacués. Les moyens d’assistance et de renflouement du Canada comme des autres Etats riverains de l’océan Glacial arctique sont déficients. L’armateur a attaqué en justice le gouvernement canadien pour erreur dans les relevés cartographiques. A ce jour, seulement 10% de l’océan Arctique est correctement cartographié.
Ça bouge en Arctique
Le 7 juillet 2011, un accord sur la frontière maritime entre la Russie et la Norvège est entré en vigueur. Cette nouvelle ligne de démarcation clôt un différend de 44 ans à propos de 175.000 km² dans la mer de Barents et l’océan glacial arctique et ouvre ce qu’il est convenu d’appeler « une zone grise » pour l’exploration des ressources fossiles. Le lendemain de l’entrée en vigueur de cet accord, la Norvège a dépêché sur zone le navire de recherches sismiques Harrier Explorer (OMI 7807380).