Halte aux feux !
Dans une nouvelle vague de protestation, les agriculteurs déstockent les déchets accumulés dans les hangars, près des ensilages et des fosses à lisier. Ils les déversent et les brûlent par milliers de tonnes sur le domaine public. Pneus, palettes, emballages toxiques, tôles d’amiante ciment, tous les cadavres sortent des placards. En brûlant à ciel ouvert, les déchets dégradent irrémédiablement la qualité des produits agricoles de proximité, mettent en danger la santé des agriculteurs eux-mêmes et créent dans les fossés des sites lourdement pollués.
Halte aux feux !
Dans une nouvelle vague de protestation, les agriculteurs déstockent les déchets accumulés dans les hangars, près des ensilages et des fosses à lisier. Ils les déversent et les brûlent par milliers de tonnes sur le domaine public. Pneus, palettes, emballages toxiques, tôles d’amiante ciment, tous les cadavres sortent des placards. En brûlant à ciel ouvert, les déchets dégradent irrémédiablement la qualité des produits agricoles de proximité, mettent en danger la santé des agriculteurs eux-mêmes et créent dans les fossés des sites lourdement pollués.
Feux rouges
Les « feux de détresse » des agriculteurs sont des brûlages à ciel ouvert de déchets. Ils sont interdits. Ils émettent des panaches toxiques pour les populations et pour l’environnement. Depuis le Grenelle de l’Environnement, Robin des Bois demande que l’interdiction du brûlage des déchets soit aussi respectée pendant les manifestations. Cet appel est peu entendu par les pouvoirs publics et les syndicats. La culture du feu revendicatif crée des sites pollués, nuit à la salubrité publique et à la qualité des produits agricoles.
Feux rouges
Les « feux de détresse » des agriculteurs sont des brûlages à ciel ouvert de déchets. Ils sont interdits. Ils émettent des panaches toxiques pour les populations et pour l’environnement. Depuis le Grenelle de l’Environnement, Robin des Bois demande que l’interdiction du brûlage des déchets soit aussi respectée pendant les manifestations. Cet appel est peu entendu par les pouvoirs publics et les syndicats. La culture du feu revendicatif crée des sites pollués, nuit à la salubrité publique et à la qualité des produits agricoles.