SPAR n’épargne pas les baleines
SPAR Norvège, membre de la chaîne internationale des superettes SPAR, est un pilier de l’industrie baleinière norvégienne qui lutte pour sa survie.
La viande provenant de la chasse aux rorquals de Minke, une espèce protégée harponnée dans les eaux norvégiennes, est vendue dans un grand nombre de magasins SPAR Norvège ainsi que dans d’autres enseignes détenues par sa maison mère NorgesGruppen.
Aujourd’hui il y a 276 magasins SPAR et EuroSPAR en Norvège. La plupart d’entre eux vendent une variété de produits baleiniers comme l’ont montré des enquêtes réalisées cet été.
Suspension de la chasse à la baleine en Antarctique
65ème Commission Baleinière Internationale
Portoroz – Slovénie
Pour la première fois depuis 27 années, les baleines de l’Océan Austral ne verront pas les harpons des navires chasseurs, ni le sinistre Nisshin Maru, le navire usine hors d’âge qui servait d’abattoir à la chasse « scientifique » japonaise. Le Japon se soumet à la condamnation de la Cour Internationale de Justice de la Haye fondée sur la disproportion entre les enseignements scientifiques de la chasse japonaise et le nombre de baleines tuées (1).
Ce jugement de la Cour Internationale de Justice a été consolidé et prolongé par une résolution présentée par la Nouvelle Zélande adoptée par la majorité des pays présents à la Commission Baleinière Internationale (CBI) réunis cette semaine. De par l’approbation de cette résolution, les « permis spéciaux de recherche » doivent être désormais soumis à l’avis du Comité Scientifique de la CBI. Le Comité devra en particulier dire dans quelle mesure la capture et la mort des baleines sont nécessaires à l’accomplissement des objectifs scientifiques recherchés.
Suspension de la chasse à la baleine en Antarctique
65ème Commission Baleinière Internationale
Portoroz – Slovénie
Pour la première fois depuis 27 années, les baleines de l’Océan Austral ne verront pas les harpons des navires chasseurs, ni le sinistre Nisshin Maru, le navire usine hors d’âge qui servait d’abattoir à la chasse « scientifique » japonaise. Le Japon se soumet à la condamnation de la Cour Internationale de Justice de la Haye fondée sur la disproportion entre les enseignements scientifiques de la chasse japonaise et le nombre de baleines tuées (1).
Ce jugement de la Cour Internationale de Justice a été consolidé et prolongé par une résolution présentée par la Nouvelle Zélande adoptée par la majorité des pays présents à la Commission Baleinière Internationale (CBI) réunis cette semaine. De par l’approbation de cette résolution, les « permis spéciaux de recherche » doivent être désormais soumis à l’avis du Comité Scientifique de la CBI. Le Comité devra en particulier dire dans quelle mesure la capture et la mort des baleines sont nécessaires à l’accomplissement des objectifs scientifiques recherchés.
Le Japon contre attaque
Note d’information n°4
Les baleines devant la Cour Internationale de Justice
La Haye, Pays-Bas, 1ère audience du Japon, 2-3 juillet
Le Japon, en tant qu’archipel, conscient de bénéficier des richesses marines, affirme qu’il “serait le dernier à faire une mauvaise utilisation des ressources baleinières”. Le Japon remonte le temps en expliquant qu’il a adhéré à la Commission Baleinière Internationale (CBI) en 1951 “à une époque où, après les destructions de la guerre, la viande de baleine a empêché la famine” à un pays pauvre en ressources agricoles. Il est remonté encore plus loin et a pointé l’ironie de l’histoire puisque c’est la chasse à la baleine qui l’a forcé à rejoindre la communauté internationale après 3 siècles d’isolement : selon le Japon, au 19ème siècle “les puissances maritimes engagées dans une chasse massive à la baleine lui ont demandé d’ouvrir ses ports pour permettre le ravitaillement des navires baleiniers”. Or c’est précisément la chasse à la baleine qui pose aujourd’hui le problème de la position du Japon dans la communauté internationale et de la conformité de ses pratiques aux lois internationales ; elle l’amène ainsi, pour la première fois, devant la Cour Internationale de Justice.
Le Japon contre attaque
Note d’information n°4
Les baleines devant la Cour Internationale de Justice
La Haye, Pays-Bas, 1ère audience du Japon, 2-3 juillet
Le Japon, en tant qu’archipel, conscient de bénéficier des richesses marines, affirme qu’il “serait le dernier à faire une mauvaise utilisation des ressources baleinières”. Le Japon remonte le temps en expliquant qu’il a adhéré à la Commission Baleinière Internationale (CBI) en 1951 “à une époque où, après les destructions de la guerre, la viande de baleine a empêché la famine” à un pays pauvre en ressources agricoles. Il est remonté encore plus loin et a pointé l’ironie de l’histoire puisque c’est la chasse à la baleine qui l’a forcé à rejoindre la communauté internationale après 3 siècles d’isolement : selon le Japon, au 19ème siècle “les puissances maritimes engagées dans une chasse massive à la baleine lui ont demandé d’ouvrir ses ports pour permettre le ravitaillement des navires baleiniers”. Or c’est précisément la chasse à la baleine qui pose aujourd’hui le problème de la position du Japon dans la communauté internationale et de la conformité de ses pratiques aux lois internationales ; elle l’amène ainsi, pour la première fois, devant la Cour Internationale de Justice.