Une bonne nouvelle pour les oiseaux
Liberté de Thon n°4.
22ème réunion ordinaire de la Commission Internationale pour la Conservation des Thonidés de l’Atlantique et des mers adjacentes (CICTA / ICCAT)
Suite du communiqué « Aujourd’hui quand vous mangez du thon, vous tuez un albatros »
La recommandation sur la réduction des captures accidentelles d’oiseaux de mer dans les pêcheries palangrières (1), présentée par l’Union Européenne, le Brésil, l’Uruguay, l’Afrique du Sud et le Royaume-Uni pour ses territoires d’outre-mer a été acceptée ce matin par consensus. Elle doit être définitivement entérinée en plénière demain.
Aujourd’hui quand vous mangez du thon, vous tuez un albatros
Liberté de Thon n°2.
22ème réunion ordinaire de la Commission Internationale pour la Conservation des Thonidés de l’Atlantique et des mers adjacentes (CICTA / ICCAT)
Les oiseaux de mer sont victimes des marées noires et des autres pollutions, des déchets en plastiques, des filets fantômes dérivant dans les océans et des rongeurs invasifs sur le littoral. Ils sont aussi victimes de la pêche au thon. L’une des techniques utilisées, les palangres – des lignes longues de dizaines de kilomètres – pêchent de plus en plus d’oiseaux victimes de la pénurie alimentaire en milieu marin mais aussi de leur sens de l’observation. Ils sont nombreux, albatros et puffins, à s’accrocher aux hameçons en voulant capturer les leurres ou les prises. Les albatros pratiquent ce sport en surface, les puffins tels le puffin à menton blanc (Procellaria aequinoctialis) en plongée.
Aujourd’hui quand vous mangez du thon, vous tuez un albatros
Liberté de Thon n°2.
22ème réunion ordinaire de la Commission Internationale pour la Conservation des Thonidés de l’Atlantique et des mers adjacentes (CICTA / ICCAT)
Les oiseaux de mer sont victimes des marées noires et des autres pollutions, des déchets en plastiques, des filets fantômes dérivant dans les océans et des rongeurs invasifs sur le littoral. Ils sont aussi victimes de la pêche au thon. L’une des techniques utilisées, les palangres – des lignes longues de dizaines de kilomètres – pêchent de plus en plus d’oiseaux victimes de la pénurie alimentaire en milieu marin mais aussi de leur sens de l’observation. Ils sont nombreux, albatros et puffins, à s’accrocher aux hameçons en voulant capturer les leurres ou les prises. Les albatros pratiquent ce sport en surface, les puffins tels le puffin à menton blanc (Procellaria aequinoctialis) en plongée.
Le “printemps arabe” sera-t-il favorable au thon rouge ?
Liberté de Thon n°1.
22ème réunion ordinaire de la Commission Internationale pour la Conservation des Thonidés de l’Atlantique et des mers adjacentes (CICTA / ICCAT)
La 22ème session ordinaire de la CICTA s’inscrit dans le cadre politique mouvementé du bassin méditerranéen où se concentre la pêche au thon rouge. Alors que l’OTAN et des navires militaires de plusieurs Etats membres de la CICTA, France et Italie notamment, étaient en action dans les eaux libyennes et dans le golfe de Syrte, des thoniers et leurs escortes envoyaient des signaux VMS (Vessel Monitoring System) depuis cette zone théoriquement interdite à la pêche au thon rouge, avec un pic d’activité en mai et juin.
La vigilance reste de mise à Sète
Des sources syndicales et scientifiques nous ont informés dès le 1er mai que des thoniers battant pavillon libyen stationnés dans le port de Sète, faisaient l’objet de mouvements et de chargements inhabituels et inattendus. Une senne (filet coulissant) de 2,4 km a été à cette occasion transférée sur le Grnda , port d’attache Tripoli. Ces mouvements ont été confirmés par la capitainerie du port de Sète. Ces prémices d’appareillage étaient d’autant plus surprenants qu’une consigne informelle émanant des autorités maritimes appelait à veiller à ce qu’aucun navire libyen prenne le large.