Vente aux enchères de pièces du Concorde à Toulouse
Dans le cadre de la vente de pièces détachées de l’avion supersonique Concorde à Toulouse, Robin des Bois, auteur d’un rapport sur la Radioactivité Naturelle Technologiquement Renforcée à la demande de l’Autorité de Sûreté Nucléaire entre août 2004 et octobre 2005 attire l’attention du Commissaire Priseur et des éventuels acheteurs sur la présence d’alliages radioactifs dans certaines pièces du Concorde. Les alliages au thorium sont utilisés en aéronautique pour renforcer les capacités de résistance thermique et la résilience des pièces mécaniques comme des trains d’atterrissage. Les alliages métalliques magnésium-thorium présentent des teneurs en thorium de 2 à 4%. Sur le site de l’accident du Concorde, les radioéléments radium 228, plomb 212, bismuth 212 et thallium 208 ont été retrouvés.
Vente aux enchères de pièces du Concorde à Toulouse
Dans le cadre de la vente de pièces détachées de l’avion supersonique Concorde à Toulouse, Robin des Bois, auteur d’un rapport sur la Radioactivité Naturelle Technologiquement Renforcée à la demande de l’Autorité de Sûreté Nucléaire entre août 2004 et octobre 2005 attire l’attention du Commissaire Priseur et des éventuels acheteurs sur la présence d’alliages radioactifs dans certaines pièces du Concorde. Les alliages au thorium sont utilisés en aéronautique pour renforcer les capacités de résistance thermique et la résilience des pièces mécaniques comme des trains d’atterrissage. Les alliages métalliques magnésium-thorium présentent des teneurs en thorium de 2 à 4%. Sur le site de l’accident du Concorde, les radioéléments radium 228, plomb 212, bismuth 212 et thallium 208 ont été retrouvés.
Secret-défense, secret-Concorde
Par communiqués des 26 juillet, 10 août et 16 août 2000, ainsi que par courriers ou télécopies du 11 août et du 21 août, confirmés le 15 février 2001 à l’adresse de la SNECMA, co-constructeur des réacteurs, et de M. le ministre des transports, Robin des Bois a demandé des informations sur la présence à bord du Concorde de thorium 232, un radionucléide particulièrement toxique couramment utilisé dans la motorisation et les alliages aéronautiques. Les préoccupations de Robin des Bois s’étendaient aux hydrocarbures, à l’amiante, au pyralène et autres solvants chlorés susceptibles d’avoir pollué les sols et sous-sols à l’endroit du crash. Aucune réponse ne nous a été faite.
Secret-défense, secret-Concorde
Par communiqués des 26 juillet, 10 août et 16 août 2000, ainsi que par courriers ou télécopies du 11 août et du 21 août, confirmés le 15 février 2001 à l’adresse de la SNECMA, co-constructeur des réacteurs, et de M. le ministre des transports, Robin des Bois a demandé des informations sur la présence à bord du Concorde de thorium 232, un radionucléide particulièrement toxique couramment utilisé dans la motorisation et les alliages aéronautiques. Les préoccupations de Robin des Bois s’étendaient aux hydrocarbures, à l’amiante, au pyralène et autres solvants chlorés susceptibles d’avoir pollué les sols et sous-sols à l’endroit du crash. Aucune réponse ne nous a été faite.
Allo Gayssot
Dans ses communiqués du 26 juillet et du 10 août 2000, l’association Robin des Bois demandait à propos de l’épave du Concorde “si tous les risques étaient pris en compte”, insistant sur le fait que les accidents de transports de grande ampleur doivent être aussi considérés comme des catastrophes technologiques mettant en péril la santé des sauveteurs et l’environnement.
La question se pose en particulier de savoir si du thorium 232 et, ou, de l’uranium appauvri sont présents dans les alliages des réacteurs du Concorde ou dans d’autres parties de l’avion. Les conditions de l’accident, la durée et l’intensité de l’incendie, l’absence de vent sont autant de facteurs aggravants pour la contamination du site et les risques d’inhalation des particules toxiques (amiante, dioxines …) ou radiotoxiques par les personnels participant aux premiers secours ou aux expertises, ainsi que dans une moindre mesure pour les témoins et les journalistes.