Stocamine* et Cigéo** dans le même bateau
* Stocamine à Wittelsheim près de Mulhouse était un centre de stockage en profondeur – 550 mètres – de déchets toxiques non recyclables et non radioactifs dans un banc de sel. Entre février 1999 et septembre 2002, 44.000 tonnes de déchets y ont été stockés.
** Cigéo aux confins de la Meuse et de la Haute-Marne est un projet de stockage en profondeur – 500 mètres – de déchets radioactifs non recyclables dans une couche d’argile.
En 1997, l’arrêté préfectoral d’autorisation de Stocamine prévoyait une exploitation pendant 30 ans et exigeait à ce terme le retrait des déchets sauf renouvellement de l’autorisation. La réversibilité s’accompagnait de dispositions techniques et financières garantissant à tout moment le retrait de tout ou partie des déchets.
Stocamine* et Cigéo** dans le même bateau
* Stocamine à Wittelsheim près de Mulhouse était un centre de stockage en profondeur – 550 mètres – de déchets toxiques non recyclables et non radioactifs dans un banc de sel. Entre février 1999 et septembre 2002, 44.000 tonnes de déchets y ont été stockés.
** Cigéo aux confins de la Meuse et de la Haute-Marne est un projet de stockage en profondeur – 500 mètres – de déchets radioactifs non recyclables dans une couche d’argile.
En 1997, l’arrêté préfectoral d’autorisation de Stocamine prévoyait une exploitation pendant 30 ans et exigeait à ce terme le retrait des déchets sauf renouvellement de l’autorisation. La réversibilité s’accompagnait de dispositions techniques et financières garantissant à tout moment le retrait de tout ou partie des déchets.
Dans la ville interdite de Tomsk-7
Introduction
En avril 2012, une délégation du Haut Comité pour la Transparence et l’Information sur la Sécurité Nucléaire s’est rendue à l’invitation des Autorités russes dans la ville interdite de Seversk. En fait, Seversk (la ville du Nord) ne porte ce nom que depuis quelques années neuves. Son vrai nom, c’est Tomsk-7, la ville et le complexe atomiques des architectes, des scientifiques et des militaires de Staline. Dans ce haut lieu de la guerre froide, la délégation française a reçu un accueil scrutateur et chaleureux.
Dans la ville interdite de Tomsk-7
Introduction
En avril 2012, une délégation du Haut Comité pour la Transparence et l’Information sur la Sécurité Nucléaire s’est rendue à l’invitation des Autorités russes dans la ville interdite de Seversk. En fait, Seversk (la ville du Nord) ne porte ce nom que depuis quelques années neuves. Son vrai nom, c’est Tomsk-7, la ville et le complexe atomiques des architectes, des scientifiques et des militaires de Staline. Dans ce haut lieu de la guerre froide, la délégation française a reçu un accueil scrutateur et chaleureux.
Une sortie pour les déchets nucléaires allemands
Baroud d’honneur pour les manifestants qui ont battu le record de ralentissement d’un train transportant des déchets nucléaires depuis l’usine de la presqu’île de La Hague en France jusqu’en Basse-Saxe en Allemagne conformément à un accord gouvernemental bi-latéral ou plutôt une nouvelle démonstration du syndrôme NIMBY (Not In My Back Yard – Pas dans mon jardin)?
Plusieurs centaines de convois ferroviaires de combustibles irradiés allemands ont quitté l’Allemagne à destination de l’usine de retraitement de La Hague en France entre 1985 et 1995 sans avoir suscité d’opposition au sein de l’opinion publique allemande.