Incendie à La Courneuve : plusieurs millions de victimes
Les habitants d’Ile-de-France sont encore une fois victimes de l’incendie d’un entrepôt commercial contenant plusieurs milliers de tonnes de matériaux synthétiques. C’est une réplique de l’incendie du 16 février 2012 déjà à La Courneuve. Ces événements se reproduisent régulièrement dans un habitat urbain dense où cohabitent dangereusement la logistique et les populations.
Robin des Bois demande au Ministère de l’Ecologie et à Airparif de déclencher immédiatement un protocole de suivi de cette pollution atmosphérique supplémentaire et d’en évaluer les conséquences sanitaires et environnementales. Les cendres et autres déchets devront être considérés comme des déchets dangereux.
Incendie en Seine-Saint-Denis
L’incendie est circonscrit mais les pollutions atmosphériques ne le sont pas. La combustion sauvage d’un entrepôt de textiles synthétiques dégage un panache de poussières, de métaux lourds, de composés toxiques et de dioxines. Ces évènements se reproduisent régulièrement dans un habitat urbain dense où cohabitent dangereusement la logistique et les populations.
Robin des Bois souhaite que la préfecture de Seine-Saint-Denis, Airparif et le Ministère de l’Ecologie déclenchent un protocole de suivi de cette pollution atmosphérique et en évaluent les conséquences sanitaires et environnementales. Sur site, les déchets de l’incendie doivent être considérés comme des déchets dangereux.
Incendie en Seine-Saint-Denis
L’incendie est circonscrit mais les pollutions atmosphériques ne le sont pas. La combustion sauvage d’un entrepôt de textiles synthétiques dégage un panache de poussières, de métaux lourds, de composés toxiques et de dioxines. Ces évènements se reproduisent régulièrement dans un habitat urbain dense où cohabitent dangereusement la logistique et les populations.
Robin des Bois souhaite que la préfecture de Seine-Saint-Denis, Airparif et le Ministère de l’Ecologie déclenchent un protocole de suivi de cette pollution atmosphérique et en évaluent les conséquences sanitaires et environnementales. Sur site, les déchets de l’incendie doivent être considérés comme des déchets dangereux.
Les vaches et les radiateurs électriques
1- 40.000 vaches sont susceptibles d’être contaminées par les dioxines et de devoir être abattues à la suite du plus gros accident industriel survenu en France depuis la mise en œuvre de la nouvelle directive Seveso en 2003. Cet accident est en fait l’incendie survenu en août 2008 à Saint-Cyprien dans la Loire. Ce site a été identifié par Robin des Bois en mai 2008 comme un ancien site de broyage de radiateurs et de câbles électriques. Il a donc été intégré dans l’inventaire des sites pollués aux PCB diffusé par l’association. En juillet 2008, le site de Saint-Cyprien a fait l’objet d’une mise à jour incluant la pollution PCB dans l’inventaire BASOL du Ministère de l’Ecologie.
Les vaches et les radiateurs électriques
1- 40.000 vaches sont susceptibles d’être contaminées par les dioxines et de devoir être abattues à la suite du plus gros accident industriel survenu en France depuis la mise en œuvre de la nouvelle directive Seveso en 2003. Cet accident est en fait l’incendie survenu en août 2008 à Saint-Cyprien dans la Loire. Ce site a été identifié par Robin des Bois en mai 2008 comme un ancien site de broyage de radiateurs et de câbles électriques. Il a donc été intégré dans l’inventaire des sites pollués aux PCB diffusé par l’association. En juillet 2008, le site de Saint-Cyprien a fait l’objet d’une mise à jour incluant la pollution PCB dans l’inventaire BASOL du Ministère de l’Ecologie.