Inventaire des déchets de guerre Régions Atlantique-Manche, 1er janvier 2008-31 décembre 2013
Inventaire des déchets de guerre
Régions Atlantique-Manche
1er janvier 2008 – 31 décembre 2013
Spécial commémoration du D-Day
Juin 2014
Sommaire
Introduction
Quelques munitions de l’inventaire
Risques sanitaires et environnementaux
Inventaires des déchets de guerre du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2013 avec leurs cartographies:
Elimination des munitions chimiques syriennes
Mise à jour le 3 janvier – 10h15
Le traitement des substances chimiques syriennes à bord du navire américain Cape Ray est une solution par défaut. Elle fait suite au refus des pays d’Europe du Nord de traiter directement les précurseurs des munitions chimiques dans des installations dédiées (*). Cette opération en haute mer consacrerait l’industrialisation de l’océan mondial.
Elimination des munitions chimiques syriennes
Mise à jour le 3 janvier – 10h15
Le traitement des substances chimiques syriennes à bord du navire américain Cape Ray est une solution par défaut. Elle fait suite au refus des pays d’Europe du Nord de traiter directement les précurseurs des munitions chimiques dans des installations dédiées (*). Cette opération en haute mer consacrerait l’industrialisation de l’océan mondial.
Les nouveaux risques pyrotechniques de Toulouse
La France a été le théâtre de trois guerres modernes, 1870, 14-18, 39-45. Les belligérants ont fabriqué, utilisé, stocké, transporté ou abandonné des quantités incalculables de munitions encore actives dans les sols, sous-sols, rivières et mers.
Les matériels de guerre enfouis dans la terre sont un danger mortel pour les travailleurs et les populations. Ils exposent l’environnement à des risques méconnus ou occultés par les élus locaux, les services de l’Etat, les architectes et les urbanistes.
Lettre ouverte sur un secret
« Ne peuvent être consultées les archives publiques dont la communication est susceptible d’entraîner la diffusion d’informations permettant de concevoir, fabriquer, utiliser ou localiser des armes nucléaires, chimiques ou toutes autres armes ayant des effets directs ou indirects de destruction d’un niveau analogue ».
Cet alinéa insidieusement glissé au milieu du projet de loi sur la réforme de l’accessibilité aux archives en cours d’examen par le Sénat et l’Assemblée Nationale porte atteinte à la sûreté et à la sécurité des générations futures, au corpus réglementaire sur les sites pollués et à la « Convention sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication du stockage et de l’emploi des armes chimiques et sur leur destruction ».