Pierre-le-Grand – Deux réacteurs nucléaires russes de 300 mégawatts sur la Côte-d’Azur
Le croiseur russe à propulsion nucléaire Piotr Velikiy ferait escale à Toulon début novembre. Ce navire amiral de la flotte du Nord a été mis sur cale en 1986 au moment même où l’ingénierie nucléaire russe brillait de mille feux à Tchernobyl. En 1996, l’explosion d’une turbine à bord a fait cinq morts. Les deux réacteurs embarqués sont chacun de 300 mégawatts. Le croiseur lourd Piotr Veliki a récemment participé activement à des exercices navals avec tirs de missiles en Arctique.
Pierre-le-Grand – Deux réacteurs nucléaires russes de 300 mégawatts sur la Côte-d’Azur
Le croiseur russe à propulsion nucléaire Piotr Velikiy ferait escale à Toulon début novembre. Ce navire amiral de la flotte du Nord a été mis sur cale en 1986 au moment même où l’ingénierie nucléaire russe brillait de mille feux à Tchernobyl. En 1996, l’explosion d’une turbine à bord a fait cinq morts. Les deux réacteurs embarqués sont chacun de 300 mégawatts. Le croiseur lourd Piotr Veliki a récemment participé activement à des exercices navals avec tirs de missiles en Arctique.
Pollution radioactive – Tricastin
Uranium SOCATRI- Tricastin
Note d’information n°1
Après l’erreur de gestion de la solution d’uranium au Tricastin et le déversement hors site, la décontamination du parcours terrestre a commencé.
A raison déclarée de 12 g d’uranium par litre, la quantité globale déversée a transformé les sédiments, les algues et l’ensemble de la végétation aquatique et planctonique des cours d’eau adjacents en déchets faiblement radioactifs. Au fur et à mesure que la teneur en uranium de l’eau diminue, celle des sédiments augmente. Il importe que les limons et les végétaux en aval du point de rejet soient curés et extraits afin d’éviter la contamination à long terme de l’écosystème local et de ses chaînes alimentaires. La décontamination du parcours aquatique de la solution d’uranium doit être programmée. Il convient de traiter le risque environnemental à long terme même si le risque sanitaire immédiat est considéré comme négligeable.
Pollution radioactive – Tricastin
Uranium SOCATRI- Tricastin
Note d’information n°1
Après l’erreur de gestion de la solution d’uranium au Tricastin et le déversement hors site, la décontamination du parcours terrestre a commencé.
A raison déclarée de 12 g d’uranium par litre, la quantité globale déversée a transformé les sédiments, les algues et l’ensemble de la végétation aquatique et planctonique des cours d’eau adjacents en déchets faiblement radioactifs. Au fur et à mesure que la teneur en uranium de l’eau diminue, celle des sédiments augmente. Il importe que les limons et les végétaux en aval du point de rejet soient curés et extraits afin d’éviter la contamination à long terme de l’écosystème local et de ses chaînes alimentaires. La décontamination du parcours aquatique de la solution d’uranium doit être programmée. Il convient de traiter le risque environnemental à long terme même si le risque sanitaire immédiat est considéré comme négligeable.
Plutonium, échange avec le Haut Comité
Après le communiqué du 17 mars intitulé “Quelle transparence sur le plutonium ?”, des contacts ont été noués entre le président du Haut Comité pour la transparence et l’information sur la sécurité nucléaire et le président de l’association Robin des Bois.