La consternation de l’ours blanc
L’ours polaire (Ursus maritimus) est un mammifère marin qui se nourrit d’autres mammifères marins. Il vit pour l’essentiel sur la banquise arctique, sur les glaces de mer et en mer ouverte. C’est un excellent nageur. La banquise, le domaine vital de l’ours polaire, est en régression. Les prédations et les risques mortels pour les ours polaires sont en augmentation.
L’ours blanc fait fondre les cœurs. Les gouvernements et les ONG l’exploitent comme emblème et martyr du réchauffement climatique. L’ours blanc est devenu un top-model et un bailleur de fonds.
La consternation de l’ours blanc
L’ours polaire (Ursus maritimus) est un mammifère marin qui se nourrit d’autres mammifères marins. Il vit pour l’essentiel sur la banquise arctique, sur les glaces de mer et en mer ouverte. C’est un excellent nageur. La banquise, le domaine vital de l’ours polaire, est en régression. Les prédations et les risques mortels pour les ours polaires sont en augmentation.
L’ours blanc fait fondre les cœurs. Les gouvernements et les ONG l’exploitent comme emblème et martyr du réchauffement climatique. L’ours blanc est devenu un top-model et un bailleur de fonds.
13 associations exhortent la France à s’opposer au commerce international des ours polaires et de leurs parties
(Paris, France – 13 décembre 2012) – Dans la perspective de la prochaine conférence des parties à la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction) qui se tiendra en mars 2013 à Bangkok (Thaïlande) et au menu de laquelle figure l’ours polaire et le commerce de ses parties, 13 associations françaises* de conservation de la nature et de protection des animaux, membres de la « Coalition Ours Polaires », appellent le gouvernement français à soutenir l’initiative américaine visant à interdire le commerce international des ours polaires et de leurs parties qui sera discutée à cette occasion.
13 associations exhortent la France à s’opposer au commerce international des ours polaires et de leurs parties
(Paris, France – 13 décembre 2012) – Dans la perspective de la prochaine conférence des parties à la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction) qui se tiendra en mars 2013 à Bangkok (Thaïlande) et au menu de laquelle figure l’ours polaire et le commerce de ses parties, 13 associations françaises* de conservation de la nature et de protection des animaux, membres de la « Coalition Ours Polaires », appellent le gouvernement français à soutenir l’initiative américaine visant à interdire le commerce international des ours polaires et de leurs parties qui sera discutée à cette occasion.
La Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction en passe d’être rachetée par l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce)
CITES 2010 – Doha
Communiqué n°8 – FIN
La 15ème Conférence des Parties à la CITES vient de s’achever à Doha. Le requin taupe a été remis sur la table suite à l’intervention de Singapour qui a estimé qu’il y avait eu des problèmes techniques lors du premier vote. Les débats ont été escamotés par une astuce de procédure et la proposition est directement repassée au vote. Elle a été rejetée à trois voix près. L’Islande, candidate à l’Union européenne, et le Japon qui accueille en octobre prochain la Conférence pour la Biodiversité en affichant les meilleures intentions du monde se sont chaleureusement tombés dans les bras au milieu de la salle de conférence pour se féliciter de cet échec de l’Europe et des protecteurs des requins. Les associations telles que Japan Fisheries Association sont vite sorties pour fêter le résultat d’un lobby intensif. Installée pour protéger les espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction des excès du commerce international, la CITES devient progressivement une convention de protection du commerce. Le délégué de la Guinée a résumé hier en plénière l’analyse de beaucoup de participants : « Ma remarque est fort amère, je constate après avoir attentivement écouté les débats que les considérations économiques dominent la vision environnementale ». Les décisions sur les espèces marines ont confirmé que la mer est considérée par la communauté internationale comme un réservoir pour manger, pour guérir, pour se décorer, mais lorsqu’il s’agit de la protéger, c’est presque le désert, comme autour de Doha.