Kuivatsu : chronique d’un navire ordinaire
Parti de Ventspils en Russie à destination de l’Espagne avec une cargaison de 7500 m3 de bois issus de la surexploitation de la forêt Sibérienne, le KUIVATSU 135 mètres, 6000 tonneaux, et 27 ans bat pavillon Estonien depuis l’éclatement de l’ex-union Soviétique. Sa société de classification est la Russian Register.
Bien qu’ayant sa cargaison désarimée, la lisse tribord arrachée sur 20 mètres et 15 degrés de gîte, le KUIVATSU n’est pas rentré spontanément dans le port de Cherbourg.
Kuivatsu : chronique d’un navire ordinaire
Parti de Ventspils en Russie à destination de l’Espagne avec une cargaison de 7500 m3 de bois issus de la surexploitation de la forêt Sibérienne, le KUIVATSU 135 mètres, 6000 tonneaux, et 27 ans bat pavillon Estonien depuis l’éclatement de l’ex-union Soviétique. Sa société de classification est la Russian Register.
Bien qu’ayant sa cargaison désarimée, la lisse tribord arrachée sur 20 mètres et 15 degrés de gîte, le KUIVATSU n’est pas rentré spontanément dans le port de Cherbourg.
Transport maritime : le Sherbro servira-t-il de détonateur ?
Dans le cadre de la Conférence sur la Protection de la Mer du Nord, les Etats riverains de la Mer de la Manche et de la Mer du Nord se sont engagés dès 1990 “à réduire les risques de perte à la mer de matières dangereuses et à renforcer les moyens de récupérer les marchandises tombées à la mer”.
Force est de constater que ni la France, ni la Hollande, ni la Belgique n’ont tenu ces engagements.
– Le seul remorqueur français affrété par la Marine Nationale dans la Manche a été obligé, le 11 décembre 1993, d’abandonner le repérage et le marquage des conteneurs tombés du Sherbro pour porter secours à un car-ferry anglo-normand.