Les épaves déchargent
Une épave est une somme de déchets toxiques. De plus en plus de précautions sont exigées pour la démolition des navires. L’inventaire des matériaux dangereux qui devraient en tous lieux faire l’objet d’un traitement préalable est impressionnant : déchets d’équipements électriques et électroniques, peintures biocides, extincteurs, PCB et amiante sous formes multiples, sources radioactives, fluides toxiques, lubrifiants et hydrocarbures de propulsion.
Une épave est généralement un navire en ordre de marche qui à la suite d’un aléa – guerre, collision, avarie, météo – s’est retrouvé en quelques minutes ou en quelques heures sur les fonds marins. La dépollution préalable n’est pas le propre des épaves. En plus des déchets opérationnels, ces décharges sous-marines stockent et au fil du temps déstockent sur les sédiments et dans l’environnement marin les cargaisons et résidus de cargaison ou de munitions.
Les épaves déchargent
Une épave est une somme de déchets toxiques. De plus en plus de précautions sont exigées pour la démolition des navires. L’inventaire des matériaux dangereux qui devraient en tous lieux faire l’objet d’un traitement préalable est impressionnant : déchets d’équipements électriques et électroniques, peintures biocides, extincteurs, PCB et amiante sous formes multiples, sources radioactives, fluides toxiques, lubrifiants et hydrocarbures de propulsion.
Une épave est généralement un navire en ordre de marche qui à la suite d’un aléa – guerre, collision, avarie, météo – s’est retrouvé en quelques minutes ou en quelques heures sur les fonds marins. La dépollution préalable n’est pas le propre des épaves. En plus des déchets opérationnels, ces décharges sous-marines stockent et au fil du temps déstockent sur les sédiments et dans l’environnement marin les cargaisons et résidus de cargaison ou de munitions.
Les épaves déchargent
Une épave est une somme de déchets toxiques. De plus en plus de précautions sont exigées pour la démolition des navires. L’inventaire des matériaux dangereux qui devraient en tous lieux faire l’objet d’un traitement préalable est impressionnant : déchets d’équipements électriques et électroniques, peintures biocides, extincteurs, PCB et amiante sous formes multiples, sources radioactives, fluides toxiques, lubrifiants et hydrocarbures de propulsion.
Une épave est généralement un navire en ordre de marche qui à la suite d’un aléa – guerre, collision, avarie, météo – s’est retrouvé en quelques minutes ou en quelques heures sur les fonds marins. La dépollution préalable n’est pas le propre des épaves. En plus des déchets opérationnels, ces décharges sous-marines stockent et au fil du temps déstockent sur les sédiments et dans l’environnement marin les cargaisons et résidus de cargaison ou de munitions.
Probo Koala 3 ans après, c’est toujours la cote d’alerte en Côte d’Ivoire
Oui, dans la phase d’urgence 9.300 tonnes de terres polluées par les déchets du Probo Koala ont été récupérées par le groupe français Trédi entre septembre et décembre 2006 puis incinérées dans l’usine spécialisée de Salaise dans la vallée du Rhône.
Mais malgré l’accord passé en février 2007 entre l’Etat ivoirien et l’affréteur du Probo Koala s’engageant à payer les frais de dépollution, la deuxième phase de retour à la normale est restée en rade d’Abidjan. Il reste environ 3.000 tonnes de terres polluées.
Probo Koala 3 ans après, c’est toujours la cote d’alerte en Côte d’Ivoire
Oui, dans la phase d’urgence 9.300 tonnes de terres polluées par les déchets du Probo Koala ont été récupérées par le groupe français Trédi entre septembre et décembre 2006 puis incinérées dans l’usine spécialisée de Salaise dans la vallée du Rhône.
Mais malgré l’accord passé en février 2007 entre l’Etat ivoirien et l’affréteur du Probo Koala s’engageant à payer les frais de dépollution, la deuxième phase de retour à la normale est restée en rade d’Abidjan. Il reste environ 3.000 tonnes de terres polluées.