La bataille du Rio Tagus n’est pas perdue
L’avant, l’après et le pourquoi d’un naufrage dans la Manche – n°2
Robin des Bois approuve sans réserves la décision du préfet maritime de la Manche et de la mer du Nord de réaliser avec l’Abeille Liberté une tentative de remorquage de l’épave renversée du Britannica Hav vers le port du Havre.
Non à l’expulsion du Rio Tagus
Le Rio Tagus a fêté ses 6 ans d’immobilisation à Sète. Il était arrivé le 29 octobre 2010 avec une voie d’eau, une panne moteur et un passif de 9 détentions en 10 ans (cf. A la Casse n°45, p 20).
Jugé impropre à la navigation, abandonné, il s’est détérioré à quai pendant des années. L’été dernier, ses cales remplies d’eau de pluie lui ont fait prendre de la gîte. Elles ont été pompées pour éviter le naufrage.
Après sa vente à un ferrailleur espagnol pour 11.000 € à l’automne − deux options étaient alors prévues : 1) démolition sur place ou 2) démolition en Espagne sous réserve que la sécurité du remorquage soit garantie − le Rio Tagus vient d’être “dépollué”.
Non au Discordia
Objet : remorquage du Costa Concordia vers Gênes
Robin des Bois salue la prouesse de l’opération Concordia. L’ONG pense que le remorquage de l’épave est possible avec un minimum de risques. Robin des Bois est aussi conforté dans son appréciation positive par la destination finale décidée en dernier ressort par le président du conseil des ministres italien Matteo Renzi. Gênes a été un centre de démolition des navires en fin de vie et c’est parmi toutes les options évoquées depuis un an celle qui est la plus logique et qui présente le plus de garanties sur la bonne fin du démantèlement du Concordia.
Non au Discordia
Objet : remorquage du Costa Concordia vers Gênes
Robin des Bois salue la prouesse de l’opération Concordia. L’ONG pense que le remorquage de l’épave est possible avec un minimum de risques. Robin des Bois est aussi conforté dans son appréciation positive par la destination finale décidée en dernier ressort par le président du conseil des ministres italien Matteo Renzi. Gênes a été un centre de démolition des navires en fin de vie et c’est parmi toutes les options évoquées depuis un an celle qui est la plus logique et qui présente le plus de garanties sur la bonne fin du démantèlement du Concordia.