Traverses de chemins de fer traitées à la créosote: Informations pratiques
La créosote et le « goudron ».
La créosote est obtenue à partir de la distillation de goudrons de houille bruts. A ce titre, elle contient des éléments toxiques comme les hydrocarbures polycycliques (HAP) et le Benzo-a-pyrène (B[a]P) La créosote et le « goudron » sont donc deux produits distincts à toxicité incomparable.
La toxicité de la créosote.
La présence de noyaux aromatiques fait de la créosote une substance cancérogène. Mais avant tout, les traverses imprégnées de créosote sont classées « Déchets dangereux » à la rubrique 17 02 04*.
Secret-défense, secret-Concorde
Par communiqués des 26 juillet, 10 août et 16 août 2000, ainsi que par courriers ou télécopies du 11 août et du 21 août, confirmés le 15 février 2001 à l’adresse de la SNECMA, co-constructeur des réacteurs, et de M. le ministre des transports, Robin des Bois a demandé des informations sur la présence à bord du Concorde de thorium 232, un radionucléide particulièrement toxique couramment utilisé dans la motorisation et les alliages aéronautiques. Les préoccupations de Robin des Bois s’étendaient aux hydrocarbures, à l’amiante, au pyralène et autres solvants chlorés susceptibles d’avoir pollué les sols et sous-sols à l’endroit du crash. Aucune réponse ne nous a été faite.
Secret-défense, secret-Concorde
Par communiqués des 26 juillet, 10 août et 16 août 2000, ainsi que par courriers ou télécopies du 11 août et du 21 août, confirmés le 15 février 2001 à l’adresse de la SNECMA, co-constructeur des réacteurs, et de M. le ministre des transports, Robin des Bois a demandé des informations sur la présence à bord du Concorde de thorium 232, un radionucléide particulièrement toxique couramment utilisé dans la motorisation et les alliages aéronautiques. Les préoccupations de Robin des Bois s’étendaient aux hydrocarbures, à l’amiante, au pyralène et autres solvants chlorés susceptibles d’avoir pollué les sols et sous-sols à l’endroit du crash. Aucune réponse ne nous a été faite.
Y a t-il encore un ministre des Transports ?
Très toxique par inhalation, par contact et par ingestion, l’acide fluorhydrique est une des matières dangereuses les plus redoutées des pompiers et autres services de secours. Au contact de l’eau ou de l’humidité, il dégage des vapeurs exothermiques provoquant des brûlures et des lésions pulmonaires irréversibles.
Les usines qui en détiennent plus de 20 tonnes sont assujetties à la directive Seveso et doivent en cas d’alerte, c’est-à-dire d’anomalie constatée, déclencher immédiatement un plan d’urgence dont l’un des leviers d’intervention consiste à informer immédiatement la population riveraine des mesures à prendre dans un large périmètre soumis aux aléas météorologiques.