Déchets toxiques en Côte d’Ivoire et incendies à répétition en France
Pollution en Côte d’Ivoire : note d’information n°4
Monsieur Claude Dauphin, détenu en Côte d’Ivoire dans le cadre de l’enquête sur les déversements toxiques du Probo Koala, est un dirigeant de Trafigura (cf précédente note d’information). Il est présenté comme un disciple de Marc Rich (voir l’article « The Rich Boys » dans le BusinessWeek du 18 juillet 2005 et le communiqué de Robin des Bois « My pollueur is Rich » du 29 janvier 2003). Il a commencé sa carrière internationale à Londres en tant que courtier en produits pétroliers. Il a développé sous le nom de GDE -Guy Dauphin Environnement- une société familiale de récupération de métaux et de batteries dont le site historique est implanté à côté de Caen et dont la maison-mère est le groupe Ecore.
Déchets toxiques en Côte d’Ivoire et incendies à répétition en France
Pollution en Côte d’Ivoire : note d’information n°4
Monsieur Claude Dauphin, détenu en Côte d’Ivoire dans le cadre de l’enquête sur les déversements toxiques du Probo Koala, est un dirigeant de Trafigura (cf précédente note d’information). Il est présenté comme un disciple de Marc Rich (voir l’article « The Rich Boys » dans le BusinessWeek du 18 juillet 2005 et le communiqué de Robin des Bois « My pollueur is Rich » du 29 janvier 2003). Il a commencé sa carrière internationale à Londres en tant que courtier en produits pétroliers. Il a développé sous le nom de GDE -Guy Dauphin Environnement- une société familiale de récupération de métaux et de batteries dont le site historique est implanté à côté de Caen et dont la maison-mère est le groupe Ecore.
Des hommes d’affaires français enlisés dans la mixture toxique d’Abidjan
Pollution en Côte-d’Ivoire – Note d’information n°3
Claude Dauphin, actionnaire principal de Guy Dauphin Environnement qui connaît en France et ailleurs une croissance fulgurante dans le domaine du recyclage et mal maîtrisée sur le plan environnemental, serait aussi l’un des dirigeants du holding Trafigura. Trafigura est le holding de droit hollandais qui a affrété le Probo Koala (pavillon panaméen, armateur grec) navire responsable de la pollution en Côte d’Ivoire. Claude Dauphin a été par ailleurs le créateur à Londres d’une société de courtage de produits et de déchets pétroliers, Ecore, aujourd’hui absorbée par Trafigura. Une fois de plus il est démontré que les filières de recyclage et de courtage des déchets en l’occurrence pétroliers ne sont absolument pas maîtrisés par les Etats européens.
Des hommes d’affaires français enlisés dans la mixture toxique d’Abidjan
Pollution en Côte-d’Ivoire – Note d’information n°3
Claude Dauphin, actionnaire principal de Guy Dauphin Environnement qui connaît en France et ailleurs une croissance fulgurante dans le domaine du recyclage et mal maîtrisée sur le plan environnemental, serait aussi l’un des dirigeants du holding Trafigura. Trafigura est le holding de droit hollandais qui a affrété le Probo Koala (pavillon panaméen, armateur grec) navire responsable de la pollution en Côte d’Ivoire. Claude Dauphin a été par ailleurs le créateur à Londres d’une société de courtage de produits et de déchets pétroliers, Ecore, aujourd’hui absorbée par Trafigura. Une fois de plus il est démontré que les filières de recyclage et de courtage des déchets en l’occurrence pétroliers ne sont absolument pas maîtrisés par les Etats européens.
Pollution en Côte d’Ivoire
Pollution en Côte d’Ivoire – note d’information n° 2
Les explications tardives et emberlificotées de la multinationale Trafigura, courtier en produits pétroliers dont la maison mère est implantée aux Pays-Bas, sont destinées à dissimuler la terrible vérité. Trafigura a livré des déchets non-conformes à l’opérateur Amsterdam Port Services (APS), a refusé de payer le surcoût de traitement et n’a pas respecté la Directive 2000/59/CE du Parlement européen et du Conseil du 27 novembre 2000 sur les installations de réception portuaires pour les déchets d’exploitation des navires et les résidus de cargaison. Avec la complicité des autorités environnementales du port d’Amsterdam, le navire a déchargé puis rechargé ses déchets, a rejoint le port estonien de Paldiski où les résidus n’ont toujours pas été débarqués. Les logisticiens de Trafigura ont sélectionné le port d’Abidjan comme réceptacle final de ces déchets. Certes les conditions financières de réception à Abidjan sont nettement plus avantageuses qu’à Amsterdam mais les conditions d’élimination y sont aussi nettement inférieures, surtout quand les résidus de lavage et de cargaison contiennent du mercaptan, de l’hydrogène sulfuré et de la soude caustique.