Uranium SOCATRI
Uranium SOCATRI- Tricastin
Note d’information n°2
Dans le cadre de la réunion exceptionnelle tenue hier par le Haut Comité pour la transparence et l’information sur la sécurité nucléaire au sujet du rejet d’uranium de SOCATRI, le représentant de l’association Robin des Bois a souligné que la SOCATRI est responsable d’une pollution chimique persistante des eaux souterraines. La source de cette pollution est considérée comme accidentelle et remonterait à 1996. Elle concerne le chrome VI et le nickel. La contamination de la nappe n’est pas accompagnée de restrictions d’usage. L’action de dépollution consiste à pomper les eaux contaminées et à les traiter. Ces informations sont disponibles sur le site BASOL du Ministère de l’Ecologie.
Pollution radioactive – Tricastin
Uranium SOCATRI- Tricastin
Note d’information n°1
Après l’erreur de gestion de la solution d’uranium au Tricastin et le déversement hors site, la décontamination du parcours terrestre a commencé.
A raison déclarée de 12 g d’uranium par litre, la quantité globale déversée a transformé les sédiments, les algues et l’ensemble de la végétation aquatique et planctonique des cours d’eau adjacents en déchets faiblement radioactifs. Au fur et à mesure que la teneur en uranium de l’eau diminue, celle des sédiments augmente. Il importe que les limons et les végétaux en aval du point de rejet soient curés et extraits afin d’éviter la contamination à long terme de l’écosystème local et de ses chaînes alimentaires. La décontamination du parcours aquatique de la solution d’uranium doit être programmée. Il convient de traiter le risque environnemental à long terme même si le risque sanitaire immédiat est considéré comme négligeable.
Pollution radioactive – Tricastin
Uranium SOCATRI- Tricastin
Note d’information n°1
Après l’erreur de gestion de la solution d’uranium au Tricastin et le déversement hors site, la décontamination du parcours terrestre a commencé.
A raison déclarée de 12 g d’uranium par litre, la quantité globale déversée a transformé les sédiments, les algues et l’ensemble de la végétation aquatique et planctonique des cours d’eau adjacents en déchets faiblement radioactifs. Au fur et à mesure que la teneur en uranium de l’eau diminue, celle des sédiments augmente. Il importe que les limons et les végétaux en aval du point de rejet soient curés et extraits afin d’éviter la contamination à long terme de l’écosystème local et de ses chaînes alimentaires. La décontamination du parcours aquatique de la solution d’uranium doit être programmée. Il convient de traiter le risque environnemental à long terme même si le risque sanitaire immédiat est considéré comme négligeable.
Allo Gayssot
Dans ses communiqués du 26 juillet et du 10 août 2000, l’association Robin des Bois demandait à propos de l’épave du Concorde “si tous les risques étaient pris en compte”, insistant sur le fait que les accidents de transports de grande ampleur doivent être aussi considérés comme des catastrophes technologiques mettant en péril la santé des sauveteurs et l’environnement.
La question se pose en particulier de savoir si du thorium 232 et, ou, de l’uranium appauvri sont présents dans les alliages des réacteurs du Concorde ou dans d’autres parties de l’avion. Les conditions de l’accident, la durée et l’intensité de l’incendie, l’absence de vent sont autant de facteurs aggravants pour la contamination du site et les risques d’inhalation des particules toxiques (amiante, dioxines …) ou radiotoxiques par les personnels participant aux premiers secours ou aux expertises, ainsi que dans une moindre mesure pour les témoins et les journalistes.
Allo Gayssot
Dans ses communiqués du 26 juillet et du 10 août 2000, l’association Robin des Bois demandait à propos de l’épave du Concorde “si tous les risques étaient pris en compte”, insistant sur le fait que les accidents de transports de grande ampleur doivent être aussi considérés comme des catastrophes technologiques mettant en péril la santé des sauveteurs et l’environnement.
La question se pose en particulier de savoir si du thorium 232 et, ou, de l’uranium appauvri sont présents dans les alliages des réacteurs du Concorde ou dans d’autres parties de l’avion. Les conditions de l’accident, la durée et l’intensité de l’incendie, l’absence de vent sont autant de facteurs aggravants pour la contamination du site et les risques d’inhalation des particules toxiques (amiante, dioxines …) ou radiotoxiques par les personnels participant aux premiers secours ou aux expertises, ainsi que dans une moindre mesure pour les témoins et les journalistes.