Tout sur le TK Bremen
TK Bremen (ex-Melinau Satu, ex-Melinau, ex-Elm). OMI 8113487. Marchandises diverses. Longueur 109 m. Pavillon Malte. Société de classification Bureau Veritas. Construit en 1982 à Pusan (Corée du Sud) par Dae Sun SB & E Co. Son armateur turc Adriyatik GemiIsletmeciligi contrôle 8 navires, tous sous pavillon maltais, construits entre 1982 et 1985. Chacun d’entre eux est officiellement la propriété de « single ship companies » sauf dans le cas du TK Bremen où il s’agit d’une « double ship company », la Blue Atlantic Shipping, également détentrice du TK London. Les dommages financiers provoqués par la dérive et l’échouage du TK Bremen seront à la charge de cette seule compagnie basée dans l’Union Européenne, à Malte.
Tout sur le TK Bremen
TK Bremen(ex-Melinau Satu, ex-Melinau, ex-Elm). OMI 8113487. Marchandises diverses. Longueur 109 m. Pavillon Malte. Société de classification Bureau Veritas. Construit en 1982 à Pusan (Corée du Sud) par Dae Sun SB & E Co. Son armateur turc Adriyatik GemiIsletmeciligi contrôle 8 navires, tous sous pavillon maltais, construits entre 1982 et 1985. Chacun d’entre eux est officiellement la propriété de « single ship companies » sauf dans le cas du TK Bremen où il s’agit d’une « double ship company », la Blue Atlantic Shipping, également détentrice du TK London. Les dommages financiers provoqués par la dérive et l’échouage du TK Bremen seront à la charge de cette seule compagnie basée dans l’Union Européenne, à Malte.
Un cargo en haut de plage
TK Bremen, communiqué n°1
En s’appuyant sur l’article R304-11 du Code des Ports Maritimes (1), la capitainerie du port de Lorient -Morbihan- aurait pu procéder à l’ajournement de départ du TK Bremen. En effet, ce navire vieux de 30 ans avait atteint l’âge de la démolition, présentait dans son récent cursus des déficiences nombreuses -l’absence de panneaux de cale sur toute la partie avant telle qu’elle est démontrée par les photos aériennes pourrait en être une de plus. Il avait été récemment détenu dans un port russe et son armateur turc, propriétaire de deux navires anciens, ne fournissait pas d’emblée toutes les garanties de fiabilité. Le profil du TK Bremen était tel que les responsables de la sécurité et du trafic du port de Lorient auraient dû, au vu des périls imminents qu’il s’apprêtait à affronter dans un environnement maritime dangereux et riche en cultures marines, interdire son départ.
S’il n’a pas été recouru au Code des Ports Maritimes, c’est par imprévoyance ou réticence à ne pas dégrader auprès des armateurs une image bien établie de port libéral où les réglementations sont observées à minima. Cette position n’est pas particulière au port de Lorient.
Un cargo en haut de plage
TK Bremen, communiqué n°1
En s’appuyant sur l’article R304-11 du Code des Ports Maritimes (1), la capitainerie du port de Lorient -Morbihan- aurait pu procéder à l’ajournement de départ du TK Bremen. En effet, ce navire vieux de 30 ans avait atteint l’âge de la démolition, présentait dans son récent cursus des déficiences nombreuses -l’absence de panneaux de cale sur toute la partie avant telle qu’elle est démontrée par les photos aériennes pourrait en être une de plus. Il avait été récemment détenu dans un port russe et son armateur turc, propriétaire de deux navires anciens, ne fournissait pas d’emblée toutes les garanties de fiabilité. Le profil du TK Bremen était tel que les responsables de la sécurité et du trafic du port de Lorient auraient dû, au vu des périls imminents qu’il s’apprêtait à affronter dans un environnement maritime dangereux et riche en cultures marines, interdire son départ.
Seineland
« Il s’agit d’offrir aux franciliens un espace public majeur de plusieurs hectares pour de nouvelles pratiques économiques culturelles et sportives ». Salons, foires, restaurants, commerces, loisirs, Tour de France, espaces événementiels, boîtes de nuit, le projet est destiné à accueillir la mixité des divertissements et le métissage de concessions lucratives. A court de foncier, la Mairie de Paris a trouvé dans le patrimoine mondial de l’UNESCO quelques hectares d’eldorado, ce qui ne l’empêcherait pas si le projet est entériné de faire la chasse aux subventions auprès d’organismes publics comme l’Agence de l’Eau Seine-Normandie ou l’ADEME pour sensibiliser les usagers à la gestion de leurs mégots et gobelets.