Chronique des vaches sacrifiées
Communiqué édité à l’occasion du salon Primevère de Lyon et du salon de l’Agriculture de Paris
Dans son « Inventaire des sites pollués aux PCB (mai 2008, pdf) », Robin des Bois relevait le site de Vitale Recyclage à Saint-Cyprien dans le département de la Loire (42). Cette initiative de Robin des Bois s’appuyait sur une documentation ancienne montrant que le site de Saint-Cyprien avait fait l’objet depuis les années 70 d’activités de brûlage et de broyage de matériels et radiateurs électriques. En juillet 2008, le Ministère de l’Écologie a légitimé les inquiétudes de Robin des Bois. Il a mis à jour dans sa base de données sur les sites et sols pollués (BASOL) la fiche du site Vitale Recyclage en y ajoutant la pollution des sols par les PCB. Fin août 2008, le même site était victime d’un incendie des stocks de bois de récupération. Le feu a couvé pendant trois mois.
Chronique des vaches sacrifiées
Communiqué édité à l’occasion du salon Primevère de Lyon et du salon de l’Agriculture de Paris
Dans son « Inventaire des sites pollués aux PCB (mai 2008, pdf) », Robin des Bois relevait le site de Vitale Recyclage à Saint-Cyprien dans le département de la Loire (42). Cette initiative de Robin des Bois s’appuyait sur une documentation ancienne montrant que le site de Saint-Cyprien avait fait l’objet depuis les années 70 d’activités de brûlage et de broyage de matériels et radiateurs électriques. En juillet 2008, le Ministère de l’Écologie a légitimé les inquiétudes de Robin des Bois. Il a mis à jour dans sa base de données sur les sites et sols pollués (BASOL) la fiche du site Vitale Recyclage en y ajoutant la pollution des sols par les PCB. Fin août 2008, le même site était victime d’un incendie des stocks de bois de récupération. Le feu a couvé pendant trois mois.
Chronique des vaches sacrifiées
Communiqué édité à l’occasion du salon Primevère de Lyon et du salon de l’Agriculture de Paris
Dans son « Inventaire des sites pollués aux PCB (mai 2008) », Robin des Bois relevait le site de Vitale Recyclage à Saint-Cyprien dans le département de la Loire (42). Cette initiative de Robin des Bois s’appuyait sur une documentation ancienne montrant que le site de Saint-Cyprien avait fait l’objet depuis les années 70 d’activités de brûlage et de broyage de matériels et radiateurs électriques. En juillet 2008, le Ministère de l’Écologie a légitimé les inquiétudes de Robin des Bois. Il a mis à jour dans sa base de données sur les sites et sols pollués (BASOL) la fiche du site Vitale Recyclage en y ajoutant la pollution des sols par les PCB. Fin août 2008, le même site était victime d’un incendie des stocks de bois de récupération. Le feu a couvé pendant trois mois.
Vente aux enchères de pièces du France
Avec la vente aux enchères sur les Champs-Élysées de pièces détachées du France et ramenées à grand frais de la baie d’Alang, la preuve est faite que le retour en Europe de parties de navires soumis à la casse est possible.
Robin des Bois déplore donc que les lots de matériaux toxiques embarqués à bord du France n’aient pas subi le même sort, pour le plus grand profit des communautés indiennes des plages d’Alang.
1.500 tonnes d’amiante, 4.000 sources radioactives et les tonnes de pyralène auraient dû, elles aussi, être rapatriées en Europe et à défaut d’une vente aux enchères être traitées avec autant de brio dans des sites dédiés non seulement en France mais surtout en Allemagne d’où le Norway, ex-France, accidenté et abandonné pendant plus 18 mois s’est scandaleusement échappé le 23 mai 2005 sans aucune décontamination préalable.
La crise mondiale pèse sur la démolition des navires
Le 14ème bulletin d’information sur la démolition des navires est disponible (pdf 23 pages 470 Ko). Il couvre la période du 22 septembre au 31 décembre 2008 au cours de laquelle est constaté un rush des veilles coques vers les chantiers asiatiques. 54% de ces navires étaient la propriété d’armateurs de l’Union Européenne ou de l’AELE (Association Européenne de Libre Echange). L’armateur français CGM-CMA s’est ainsi défait de l’Ursula Delmas ex-Sherbro, du Véronique Delmas et du CMA-CGM Potomac. 65% des navires partis à la casse pendant le dernier trimestre de l’année 2008 ont été préalablement détenus dans les ports du monde entier pour des défaillances techniques, ce qui prouve une dégradation de la maintenance et de l’état général des navires. Ils sont tous partis sans décontamination préalable.