Aux haies citoyens !
Les arbres et les haies ont toujours de la valeur en tant que refuges, corridors, habitats, pour les insectes et les oiseaux. Le mot remembrement devrait être banni du vocabulaire quand il s’agit de remembrement du bocage. L’association Robin des Bois alertée par ses adhérents de Loire-Atlantique, dénonce le projet de destruction du bois de la Giboire orchestré par la mairie de Sucé-sur-Erdre et la Direction Départementale de l’Agriculture et de la Forêt qui comme souvent devrait s’appeler la Direction Départementale de la Destruction du Couvert Forestier au profit de l’Agriculture.
Aux haies citoyens !
Les arbres et les haies ont toujours de la valeur en tant que refuges, corridors, habitats, pour les insectes et les oiseaux. Le mot remembrement devrait être banni du vocabulaire quand il s’agit de remembrement du bocage. L’association Robin des Bois alertée par ses adhérents de Loire-Atlantique, dénonce le projet de destruction du bois de la Giboire orchestré par la mairie de Sucé-sur-Erdre et la Direction Départementale de l’Agriculture et de la Forêt qui comme souvent devrait s’appeler la Direction Départementale de la Destruction du Couvert Forestier au profit de l’Agriculture.
Les navires en fin de vie – 2006
Les navires en fin de vie, version avril 2006 (pdf 7 pages, 397 ko)
Des déchets dangereux sur Internet ou RFF et SCNF entre développement durable et duraille
Comment se procurer, via Internet, des déchets dangereux ? Comment vendre du charbon de bois fabriqué à partir de déchets dangereux ? Comment exporter illégalement des quantités importantes de déchets dangereux ? Comment retrouver des déchets dangereux dans des bacs à sables, bancs de jardins et autres équipements à usage domestique ou d’aménagement ? Comment deux entreprises publiques peuvent elles prendre le risque de porter atteinte à la Santé de l’Homme et à l’Environnement ? Chaque année Réseau Férré de France (RFF) et la SNCF retirent des voies 1 300 000 traverses, soit près de 100 000 tonnes de bois imprégné de créosote. La présence de cette substance très toxique a conduit à classer ces traverses en déchets dangereux. Réseau Ferré de France (RFF) en est le propriétaire, la SNCF en assure la maintenance et en amont procède, dans ses unités spécialisées, au créosotage de ces futurs déchets dangereux. La SNCF est le producteur des déchets. Malgré le cadre législatif communautaire et national, les responsables de RFF et de la SNCF refusent de reconnaître et d’entériner cette qualification. Conscients, cependant, du caractère aventureux de cette position, ils minimisent les quantités retirées des voies, même si les 40 000 tonnes qu’ils déclarent sont loin d’être négligeables.
Le polystyrène masqué
Knauf, roi mondial du polystyrène expansé, s’incruste à Cournon avec des ruses administratives dignes du siècle dernier qui lui permettraient d’esquiver l’information au public et les questions du public. Comme à Torcé près de Vitré (35), Knauf commencerait à Cournon avec une production journalière de 9,5 tonnes, 500 kg en dessous du seuil d’autorisation obligeant à une enquête publique avec étude d’impact environnemental et évaluation des risques sanitaires pour les populations locales qui dans le cas de Cournon sont particulièrement et scandaleusement exposées, 45 m en limite de propriété.