Après le quai de l’oubli au Havre, le quai de l’amnésie à Bremerhaven

7 mars 2005

Le 15 mai 2003, l’inspection des Coast Guards relève à bord du paquebot Norway, ex-France, 6 déficiences dont 3 concernent la sécurité du navire. La scène se passe sur l’île américaine de Saint Thomas, en mer Caraïbe. Aux yeux des autorités américaines, l’immobilisation du paquebot ne se justifie pas, mais cette inspection de 2003 témoigne d’une dégradation de la maintenance du navire par rapport aux 3 années antérieures.

Le 25 mai 2003, à Miami en Floride, l’explosion d’une chaudière projette débris et vapeurs dans le compartiment machines. L’incendie est circonscrit, mais 4 membres de l’équipage sont tués et 17 sont brûlés, dont 4 dans un état critique. Ils sont philippins. A ce jour, les victimes ou leurs familles n’ont reçu aucune indemnité de la part de l’armateur norvégien et l’enquête sur les causes du sinistre menée par le ministère des transports américain (US National Transportation Safety Board) n’a pas abouti.

Lire la suite

Après le quai de l’oubli au Havre, le quai de l’amnésie à Bremerhaven

7 mars 2005

Le 15 mai 2003, l’inspection des Coast Guards relève à bord du paquebot Norway, ex-France, 6 déficiences dont 3 concernent la sécurité du navire. La scène se passe sur l’île américaine de Saint Thomas, en mer Caraïbe. Aux yeux des autorités américaines, l’immobilisation du paquebot ne se justifie pas, mais cette inspection de 2003 témoigne d’une dégradation de la maintenance du navire par rapport aux 3 années antérieures.

Le 25 mai 2003, à Miami en Floride, l’explosion d’une chaudière projette débris et vapeurs dans le compartiment machines. L’incendie est circonscrit, mais 4 membres de l’équipage sont tués et 17 sont brûlés, dont 4 dans un état critique. Ils sont philippins. A ce jour, les victimes ou leurs familles n’ont reçu aucune indemnité de la part de l’armateur norvégien et l’enquête sur les causes du sinistre menée par le ministère des transports américain (US National Transportation Safety Board) n’a pas abouti.

Lire la suite

Galerie des horreurs au Havre

17 févr. 2005

Le Centre International de Traitement des Ordures Nocives (CITRON) s’est installé en 1997 sur la zone portuaire du Havre. L’arrivée de cet établissement spécialisé dans le traitement et la valorisation des déchets contenant des métaux lourds a été favorisée et saluée par la ville du Havre, le Port Autonome du Havre -PAH-, le Conseil Régional de Haute-Normandie. Des fonds européens, des organismes régionaux comme Normandie Développement, Le Havre Développement, la Datar ont aussi contribué à l’implantation de Citron, de même que M. Antoine Rufenacht, maire du Havre, qui selon des documents de presse émis par l’entreprise “ a permis à Citron de trouver un partenaire industriel en Normandie ”. “ La société GEC Alsthom a soutenu cette implantation dans le cadre de la réindustrialisation de la région Havraise ”.

Lire la suite

Coraux-Nickel

1 févr. 2005

Goro Nickel – Communiqué n°3

Note: l’occupation du site a été levée le vendredi 4 février 2005. Voir également les communiqués “Baleines Nickel-Chrome” du 17 novembre 2004 et “Garo Nickel” du 26 novembre 2004

L’association Robin des Bois soutient le blocus des entrées du chantier de la mine Goro Nickel en Nouvelle-Calédonie. Cette action est entreprise par le comité Rheebu Nuu regroupant les populations locales et les chefs coutumiers Kanak. Elle vise à protester contre l’implantation de ce projet minier canadien – extraction du nickel et affinage du cobalt – contesté par la communauté scientifique néo-calédonienne et mondiale pour ses effets négatifs sur la flore terrestre et l’environnement marin.

Lire la suite

Coraux-Nickel

1 févr. 2005

Goro Nickel – Communiqué n°3

Note: l’occupation du site a été levée le vendredi 4 février 2005. Voir également les communiqués “Baleines Nickel-Chrome” du 17 novembre 2004 et “Garo Nickel” du 26 novembre 2004

L’association Robin des Bois soutient le blocus des entrées du chantier de la mine Goro Nickel en Nouvelle-Calédonie. Cette action est entreprise par le comité Rheebu Nuu regroupant les populations locales et les chefs coutumiers Kanak. Elle vise à protester contre l’implantation de ce projet minier canadien – extraction du nickel et affinage du cobalt – contesté par la communauté scientifique néo-calédonienne et mondiale pour ses effets négatifs sur la flore terrestre et l’environnement marin.

Lire la suite