COVID-19: abandon de masques, de gants et de mouchoirs en milieu urbain – reportage photos
Première publication le 19 mars 2020, mises à jour les 25 et 26 mars 2020 et le 8 avril 2020.
COVID-19: abandon de masques, de gants et de mouchoirs en milieu urbain – reportage photos
Première publication le 19 mars 2020, mises à jour les 25 et 26 mars 2020 et le 8 avril 2020.
Pangolin, le business continue
Saisie le 31 mars 2020 à Port Kelang, Malaisie, de 6,16 tonnes d’écailles de pangolins d’une valeur estimée à 17,9 millions d’US$ soit 2900 US$/kg. La destination finale ne pouvait être que la Chine. La contrebande faunique se dirige toujours vers le pays le plus demandeur et le plus offrant (cf. « Atlas du Business des Espèces menacées » de Robin des Bois, publié aux éditions Arthaud en octobre 2019).
Les faces cachées du Covid-19
– Les farines animales produites par les équarrisseurs sont interdites de recyclage dans l’alimentation animale depuis l’épidémie d’ESB (Encéphalopathie Spongiforme Bovine, ou maladie de la vache folle). Elles doivent être immédiatement incinérées. Elles sont en temps normal brûlées en tant que combustible de substitution dans les cimenteries. Confronté à la fermeture partielle du secteur, le SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits) refuse de les brûler dans des incinérateurs de déchets dangereux où le coût d’élimination est plus élevé que dans les cimenteries et a profité de la crise pour obtenir du ministère de l’Ecologie des autorisations de stockages tampons dont la liste n’est pas aujourd’hui publique.
Les faces cachées du Covid-19
– Les farines animales produites par les équarrisseurs sont interdites de recyclage dans l’alimentation animale depuis l’épidémie d’ESB (Encéphalopathie Spongiforme Bovine, ou maladie de la vache folle). Elles doivent être immédiatement incinérées. Elles sont en temps normal brûlées en tant que combustible de substitution dans les cimenteries. Confronté à la fermeture partielle du secteur, le SIFCO (Syndicat des Industries Françaises des Coproduits) refuse de les brûler dans des incinérateurs de déchets dangereux où le coût d’élimination est plus élevé que dans les cimenteries et a profité de la crise pour obtenir du ministère de l’Ecologie des autorisations de stockages tampons dont la liste n’est pas aujourd’hui publique.