Les ripeurs, trieurs et manipulateurs de déchets ne sont pas des héros
Ils comptent pour zéro dans la prise en compte des risques professionnels d’exposition au COVID-19. Le secteur des déchets pourtant capital dans l’assainissement des environnements urbains et des établissements sanitaires n’est pas considéré comme prioritaire pour la mise à disposition de masques de protection respiratoire. L’arrêté du 14 mars 2020 portant diverses mesures relatives à la lutte contre la propagation du virus COVID-19 liste exclusivement les professionnels de la santé en tant que destinataires prioritaires de masques (1). Pourtant, tous ceux et toutes celles qui travaillent sur le terrain dans le secteur des déchets sont aussi plus que jamais des garants de la santé publique. Ils viennent charger les DASRI – Déchets d’Activités de Soins à Risques Infectieux- dans les hôpitaux, les pharmacies et autres points de collecte pour les livrer sur certains sites d’incinération de déchets dangereux.
Les ripeurs, trieurs et manipulateurs de déchets ne sont pas des héros
Ils comptent pour zéro dans la prise en compte des risques professionnels d’exposition au COVID-19. Le secteur des déchets pourtant capital dans l’assainissement des environnements urbains et des établissements sanitaires n’est pas considéré comme prioritaire pour la mise à disposition de masques de protection respiratoire. L’arrêté du 14 mars 2020 portant diverses mesures relatives à la lutte contre la propagation du virus COVID-19 liste exclusivement les professionnels de la santé en tant que destinataires prioritaires de masques (1). Pourtant, tous ceux et toutes celles qui travaillent sur le terrain dans le secteur des déchets sont aussi plus que jamais des garants de la santé publique. Ils viennent charger les DASRI – Déchets d’Activités de Soins à Risques Infectieux- dans les hôpitaux, les pharmacies et autres points de collecte pour les livrer sur certains sites d’incinération de déchets dangereux.
Les ripeurs, trieurs et manipulateurs de déchets ne sont pas des héros
Ils comptent pour zéro dans la prise en compte des risques professionnels d’exposition au COVID-19. Le secteur des déchets pourtant capital dans l’assainissement des environnements urbains et des établissements sanitaires n’est pas considéré comme prioritaire pour la mise à disposition de masques de protection respiratoire. L’arrêté du 14 mars 2020 portant diverses mesures relatives à la lutte contre la propagation du virus COVID-19 liste exclusivement les professionnels de la santé en tant que destinataires prioritaires de masques (1). Pourtant, tous ceux et toutes celles qui travaillent sur le terrain dans le secteur des déchets sont aussi plus que jamais des garants de la santé publique. Ils viennent charger les DASRI – Déchets d’Activités de Soins à Risques Infectieux- dans les hôpitaux, les pharmacies et autres points de collecte pour les livrer sur certains sites d’incinération de déchets dangereux.
Animaux sauvages et risques sanitaires
Rien ne prouve à ce stade que le nouveau coronavirus provienne de l’étalage et de la consommation d’animaux sauvages dans la ville de Wuhan. Cependant, dans la République Populaire de Chine, les douanes et la police informent régulièrement et depuis plusieurs années les populations des risques sanitaires multiples induits par le trafic et la consommation de viande et d’autres parties d’animaux sauvages. Quand il s’agit de contrebande d’espèces menacées d’extinction, les autorités chinoises insistent aussi sur les dommages infligés à la biodiversité. Ci-dessous, quelques extraits du bulletin d’information et d’analyses sur le braconnage et la contrebande d’espèces menacées « A la Trace » de Robin des Bois.
Animaux sauvages et risques sanitaires
Rien ne prouve à ce stade que le nouveau coronavirus provienne de l’étalage et de la consommation d’animaux sauvages dans la ville de Wuhan. Cependant, dans la République Populaire de Chine, les douanes et la police informent régulièrement et depuis plusieurs années les populations des risques sanitaires multiples induits par le trafic et la consommation de viande et d’autres parties d’animaux sauvages. Quand il s’agit de contrebande d’espèces menacées d’extinction, les autorités chinoises insistent aussi sur les dommages infligés à la biodiversité. Ci-dessous, quelques extraits du bulletin d’information et d’analyses sur le braconnage et la contrebande d’espèces menacées « A la Trace » de Robin des Bois.