Communiqué Lubrizol n°3
Communiqué Lubrizol n°3 (V2)
L’Agence Française pour la Biodiversité en Normandie (et non l’Agence Normande de la Biodiversité) ne ferait pas de décompte et de caractérisation de tous les poissons et de toutes les espèces victimes d’une mortalité importante dans le bassin aux bois où sont regroupés la plupart des effluents toxiques rejetés par l’exutoire de Lubrizol. Elle fait procéder à un enlèvement régulier des animaux morts, y compris quelques oiseaux, avant de les expédier dans un site de l’équarrisseur Atemax.
Lubrizol
Communiqué Lubrizol n°2
La liste publiée par la préfecture de Seine-Maritime, se basant sur les informations communiquées par Lubrizol, est un numéro de strip-tease industriel réservé aux initiés. Il est précisé que 5253 tonnes de produits ont été brûlées. Il est confirmé à travers les mentions de danger conformes au règlement CLP (Classification, Labelling, Packaging) que des substances corrosives, irritantes, nocives, cancérogènes, narcotiques, très dangereuses pour l’environnement aquatique ont été dispersées sur les sols de l’usine, les voiries urbaines, la Seine et dans l’atmosphère.
Comment le secret s’est abattu sur les usines Seveso
Communiqué Lubrizol n°1
Reportage photos et vidéo ci-dessous
La carence d’informations sur les matières dangereuses impliquées dans l’incendie de l’usine Lubrizol de Rouen découle de l’instruction du gouvernement du 6 novembre 2017 relative à « la mise à disposition et aux conditions d’accès des informations potentiellement sensibles pouvant faciliter la commission d’actes de malveillance dans les installations classées pour la protection de l’environnement ». Cette instruction a été vivement critiquée par le représentant de Robin des Bois au Conseil supérieur de la prévention des risques technologiques (CSPRT) quand elle a été présentée à la séance du 5 septembre 2017. Immédiatement après cette réunion, Robin des Bois a publié un communiqué intitulé « L’Instruction omertante » et qui se concluait ainsi: « Sous le couvert de la lutte contre le terrorisme, l’État démantèle la culture collective de sécurité et le droit de chacun à savoir où il met les pieds et les poumons ».
Comment le secret s’est abattu sur les usines Seveso
Communiqué Lubrizol n°1
Reportage photos et vidéo ci-dessous
La carence d’informations sur les matières dangereuses impliquées dans l’incendie de l’usine Lubrizol de Rouen découle de l’instruction du gouvernement du 6 novembre 2017 relative à « la mise à disposition et aux conditions d’accès des informations potentiellement sensibles pouvant faciliter la commission d’actes de malveillance dans les installations classées pour la protection de l’environnement ». Cette instruction a été vivement critiquée par le représentant de Robin des Bois au Conseil supérieur de la prévention des risques technologiques (CSPRT) quand elle a été présentée à la séance du 5 septembre 2017. Immédiatement après cette réunion, Robin des Bois a publié un communiqué intitulé « L’Instruction omertante » et qui se concluait ainsi: « Sous le couvert de la lutte contre le terrorisme, l’État démantèle la culture collective de sécurité et le droit de chacun à savoir où il met les pieds et les poumons ».
Communiqués de Robin des Bois suite à l’incendie de Notre-Dame de Paris
Notre-Dame: un nouveau site pollué (communiqué n°1), 19 avril 2019
Courriers envoyés aux autorités, 23 avril 2019
Notre-Dame de Plomb (communiqué n°2), 29 avril 2019
Paris Plomb (communiqué n°3), 5 août 2019
Notre-Dame de Paris, communiqué n°4, 14 août 2019
Notre-Dame de Paris, communiqué n°5, 26 août 2019
Une rentrée sertie de plomb (communiqué n°6), 27 août 2019
Notre-Dame de Paris, communiqué n°7 , 30 août 2019
Le scandale de la SEGPA Jacques Prévert rue du Pont de Lodi, Paris 6ème arrondissement (communiqué n°8), 2 septembre 2019
Le plomb s’incruste (communiqué n°9), 4 septembre 2019
Voir aussi : Eaux usées : Paris lave plus sale, 9 juillet 2019