Déchets

La Flèche n°33

21 juin 1999

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Coca-cola

16 juin 1999

Les fongicides et produits de traitement au pentachlorophénol et autres dérivés du phénol sont interdits d’application sur les palettes de transport de produits alimentaires par la directive 9173 CEE du 21 mars 1991.

D’après la firme, ce type de fongicide serait à l’origine des intoxications.

Tout problème lié à la contamination par les phénols des produits transportés ne pourrait provenir que d’une faute de Coca-Cola, comme l’utilisation de palettes bon marché non conformes aux standards européens et provenant de Pologne ou d’autre pays de l’Est, ou l’usage de palettes multi-rotations non dédiées aux transports alimentaires.

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La Flèche n°32

21 sept. 1998

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La Flèche n°32

21 sept. 1998

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Déchets : le Cher et l’autruche

12 déc. 1997

Des représentants de l’association Robin des Bois ont assisté à la réunion publique organisée à Bourges sur le projet de stockage de déchets industriels spéciaux de Charenton-sur-Cher, le lundi 8 décembre 1997. Ils y ont noté les applaudissements fournis sanctionnant la présentation faite par un industriel de Bordeaux, d’un procédé expérimental de vitrification de résidus de combustion d’incinérateurs. Rien n’a été dit sur les effluents gazeux de cette filière. Le représentant d’Europlasma a prétendu que l’électricité consommée provenait de la cogénération de l’incinérateur de la communauté urbaine de Bordeaux. En fait, cette technique de vitrification, basée sur le principe de la torche à plasma, fait une consommation exorbitante d’électricité. Si tous les incinérateurs d’ordures ménagères en fonctionnement ou en projet s’équipaient en torches à plasma pour traiter leurs résidus, il faudrait construire au moins 2 réacteurs nucléaires supplémentaires et contribuer ainsi à l’augmentation sensible de la production des déchets nucléaires.

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La Flèche n°30

14 oct. 1997

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La Flèche n°29

21 juin 1997

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La Flèche n°29

21 juin 1997

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Cherbourg, naufrage de “la Fidèle”

1 mai 1997

Le naufrage de “la Fidèle”, dans la fosse du Cap Lévi mentionnée comme dépôt sous-marin de munitions explosives sur les cartes nautiques, illustre les dangers croissants du stockage, du démantèlement et de l’élimination des vestiges de guerre ou des munitions périmées.

A terre, les entreposages des engins de guerre sont précaires. A Vimy, près d’Arras dans le Pas-de-Calais, le dépôt de 500 tonnes d’engins de guerre collectés dans la région défie les règles de sécurité. Il est ouvert par les brèches de la clôture en fil de fer à tous les maraudages.
Sur le littoral, en décembre 1996, l’explosion prématurée de 15 tonnes d’obus, près des dunes de la pointe de Maie, en baie de Somme et au-delà du périmètre réservé a légèrement blessé deux pyrotechniciens et conduit à l’évacuation pendant plusieurs heures de 350 riverains menacés par les émanations de phosphore.
En mer, les dépôts sous-marins de munitions constituent des sources de contamination des sédiments benthiques par l’arsenic, le plomb et le mercure. Entre 1982 et 1995, le British Geological Survey a enregistré à travers son réseau de détection sismique 25 détonations attribuées à des explosions spontanées de munitions dans le dépôt de Beaufort’s Dyke en mer d’Irlande. A l’ouest de Cherbourg, dans la fosse des Casquets, autre décharge sous-marine utilisée par les marines militaires, la présence de munitions déversées par les Etats riverains de la Mer du Nord génère des risques d’explosion et de contamination qui, selon le Ministère de l’Environnement, empêchent toute intervention sur les fûts de déchets radioactifs jetés par la Belgique et l’Angleterre entre 1950 et 1963.

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Teghjime – L’escalade des déchets

5 janv. 1996

Dans la décharge du col de Teghjime au-dessus de la ville de Bastia, environ 400.000 tonnes de déchets ménagers, hospitaliers, industriels et banals ont été déversés. Le seul arrêté préfectoral qui s’applique à Teghjime date de 1973 et impose des prescriptions “pour l’exploitation de l’usine de traitement des ordures ménagères et l’installation de combustion qu’elle comporte”. L’incinérateur de Teghjime est fermé depuis belle lurette mais les déchets s’accumulent sur le flanc de la montagne à un rythme accéléré. Selon le témoignage des employés municipaux de la ville de Bastia travaillant sur le site de Teghjime, l’apport journalier serait en moyenne de 400 tonnes par jour (200 tonnes collectées par le district de Bastia et 200 tonnes amenées par des entreprises et des particuliers).

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