Le Japon harponne la Commission Baleinière Internationale
Commission Baleinière Internationale
Communiqué n°3 – Jersey
A l’occasion de la 63ème session plénière de la Commission Baleinière Internationale, le Japon a démontré la diversité de ses talents pour saborder les initiatives en faveur de la protection des baleines et bâcler les débats sur les menaces environnementales qui pèsent sur les cétacés. Cette année, c’est une lacune dans le règlement de la CBI qui a été finement exploitée par les juristes nippons pour écarter une proposition de sanctuaire dans l’Atlantique sud.
Les poissons mangent les baleines
63ème réunion plénière de la Commission Baleinière Internationale Jersey 11 – 14 juillet 2011
Communiqué n°2
Les partisans de la chasse à la baleine disent à satiété que les baleines doivent être régulées pour éviter la compétition avec les activités de pêche. Les documents issus de la chasse « scientifique » japonaise débordent d’estomacs de baleines pleins de petits poissons pélagiques. Pour Robin des Bois, défenseur des baleines, le temps est venu de démontrer avec objectivité que les baleines ont de nombreux effets positifs sur l’ensemble de l’écosystème marin et même hors mer, on ne peut pas reprocher aux baleines de tout prendre et de ne rien rendre à l’usage des hommes qui effectivement prennent tout à la mer et ne lui rendent rien, si ce n’est des pollutions multiples et des nuisances en croissance.
Sommet des Baleines sur l’île anglo-normande de Jersey
Commission Baleinière Internationale
Communiqué n°1 – Jersey
Objet : Impacts sur les baleines des rejets radioactifs et des déchets en mer post-tsunami.
La 63ème réunion plénière de la Commission Baleinière Internationale se tient sur l’île anglo-normande de Jersey du 11 au 14 juillet 2011. Robin des Bois exprime à cette occasion des inquiétudes très fortes sur la dégradation de l’état sanitaire des baleines après le tsunami et l’accident de Fukushima Daiichi qui ont frappé le Japon et l’océan Pacifique Nord.
Une catastrophe aussi pour les dauphins et les baleines
Séisme et tsunami au Japon
Communiqué n°11
Plusieurs espèces de petits et grands cétacés fréquentent les eaux côtières de l’Est du Japon et sont dans la zone d’influence des effluents radioactifs liquides et atmosphériques rejetés par la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi.
Il s’agit en particulier des cachalots, des rorquals de Bryde, des rorquals de Minke, des marsouins de Dall et des dauphins. Leur durée de vie, leur régime alimentaire et leur position au sommet des chaînes alimentaires marines les exposent tous à la bioaccumulation des polluants chimiques et radioactifs.
Baleines Nagoya Blabla
La Conférence de Nagoya sur la biodiversité s’achève aujourd’hui au Japon alors qu’au mois de novembre la flotte japonaise partira en Antarctique chasser 1.000 baleines. Depuis 1986, date d’entrée en vigueur du moratoire sur la chasse commerciale, le Japon a tué 13.210 baleines au nom de la science, dont près de 10.000 en Antarctique, sanctuaire baleinier depuis 1994. Au vu de l’état de la flotte japonaise, c’est toute la biodiversité Antarctique qui est menacée par une marée noire.
Les baleines ne sont toujours pas dans leurs assiettes
Commission Baleinière Internationale
21-25 juin 2010 Agadir – Maroc
Communiqué n°5
Robin des Bois restera très vigilant sur l’évolution de la recherche d’un compromis au sein de la CBI. Plusieurs délégations et quelques ONG en font leur priorité et déplorent qu’en l’état actuel le Japon, l’Islande et la Norvège restent hors de contrôle de la convention. Robin des Bois préfère cet état de fait au contrôle par le Japon, l’Islande et la Norvège de la Commission Baleinière Internationale.
Ouf ! Le compromis fait plouf !
Communiqué n°4
Commission Baleinière Internationale
21-25 juin 2010 Agadir – Maroc
Les baleines noires
Communiqué n°3
Commission Baleinière Internationale
21-25 juin 2010 Agadir – Maroc
Les baleines prises en sandwich
Communiqué n°2
Commission Baleinière Internationale
21-25 juin 2010 Agadir – Maroc
Un plateau de propositions contradictoires est sur la table de la Commission Baleinière Internationale à Agadir.
Il est présumé aider la C.B.I. à sortir du marasme et du statu quo que certaines parties prenantes – ONG et Etats Membres – lui reprochent. « L’éclatement » de la commission est brandi d’année en année comme un épouvantail. Et si c’était le contraire ! En dehors de la convention, le Japon ne pourrait plus se prévaloir de son article 8 autorisant la chasse à des fins scientifiques et serait clairement le seul pirate en Antarctique ou dans les autres sanctuaires où son armada s’aviserait de chasser la baleine.
Voulez-vous que l’Europe finance la reprise de la chasse à la baleine ?
Communiqué n°1
Commission Baleinière Internationale
21-25 juin 2010 Agadir – Maroc
La 62ème session plénière de la Commission Baleinière Internationale se tient à Agadir du 21 au 25 juin. Elle devrait se prononcer sur un faux-semblant de compromis dadaïste et hypocrite qui pendant 10 ans entérinerait les chasses japonaise, norvégienne et islandaise, de l’Arctique à l’Antarctique. Ce document, fruit hybride d’une concertation entre quelques Etats membres de la CBI, cite parmi les espèces-cibles les rorquals communs, les rorquals de Minke, les baleines à bosse, les baleines franches, les rorquals de Bryde, les rorquals de Sei et les cachalots. Bien sûr, la reprise de la chasse sera labellisée et certifiée par la présence d’observateurs embarqués sur les bateaux-abattoirs. Ils ne seront pas bénévoles. Leur salaire officiel sera à la charge de la CBI et les pays européens membres verraient leurs cotisations cumulées passer de 800.000 à 1.500.000 euros par an. Des efforts seront aussi déployés et financés pour que les baleines ne soient pas au moment de leur capture et de leur achèvement exposées à des souffrances inutiles. Tout sera organisé pour que le bien être des baleines soit assuré quand elles seront harponnées.