L’internationale des fossoyeurs d’éléphants et de rhinocéros en procès à Rennes
Rennes
Le procès de 9 prévenus inculpés d’importation, de détention, de transport et d’exportation d’ivoire d’éléphants et de corne de rhinocéros en bande organisée s’ouvre ce 6 septembre 2021 devant le tribunal correctionnel de Rennes. Trois prévenus sont en fuite et un mandat d’arrêt a été émis à leur encontre. L’enquête a aussi abouti à la découverte inédite sur le sol français de deux ateliers de transformation d’ivoire brut et de corne de rhinocéros. Les 9 prévenus sont d’origines irlandaise et anglaise, vietnamienne et chinoise. Ils déclarent être brocanteurs, antiquaires, employés dans le BTP, dirigeant d’une société d’import-export, cuisinier, informaticien ou sans emploi.L’internationale des fossoyeurs d’éléphants et de rhinocéros en procès à Rennes
Rennes
Le procès de 9 prévenus inculpés d’importation, de détention, de transport et d’exportation d’ivoire d’éléphants et de corne de rhinocéros en bande organisée s’ouvre ce 6 septembre 2021 devant le tribunal correctionnel de Rennes. Trois prévenus sont en fuite et un mandat d’arrêt a été émis à leur encontre. L’enquête a aussi abouti à la découverte inédite sur le sol français de deux ateliers de transformation d’ivoire brut et de corne de rhinocéros. Les 9 prévenus sont d’origines irlandaise et anglaise, vietnamienne et chinoise. Ils déclarent être brocanteurs, antiquaires, employés dans le BTP, dirigeant d’une société d’import-export, cuisinier, informaticien ou sans emploi.A la Trace n°30 – le bulletin de la défaunation
A la Trace n°30 – juillet, août et septembre 2020
1040 évènements sourcés, accompagnés d’analyses, de documents iconographiques, de cartes et d’archives historiques.
201 pages (pdf), 12 Mo
« A la Trace » poursuit son analyse des effets de la crise Covid-19 sur le braconnage et la contrebande d’animaux à travers de nouveaux exemples concrets dans le monde entier. Durant le troisième trimestre 2020, les rumeurs s’installent sur la viande de pangolins, de félins et les organes de lions considérés comme des remèdes miracles contre le Covid-19. La pandémie fait bondir le pillage des animaux sauvages. Dès son émergence, elle provoque la recrudescence des pièges. En Inde et en Afrique, les gens des villes retournent au village, il y a beaucoup de bouches à nourrir, le braconnage redouble. Dans les pays riches, la chasse de loisirs bat son plein ; les gens tuent les cerfs, les ours, les orignaux et les rapaces pour tuer le temps. Le trafic d’animaux sauvages est en augmentation sur les réseaux sociaux. Au Myanmar, les centres de transit et de gavage des pangolins en attente de contrebande vers la Thaïlande sont pleins à cause de la fermeture des frontières et de la paralysie des transports. Les déstockages d’ivoire brut et d’autres produits fauniques accumulés pendant l’interruption totale des chaînes logistiques commencent à faire leur apparition. Le marché mondial des oiseaux sauvages est en expansion. La crise Covid-19 a ouvert de nouveaux débouchés avec une humanité confinée en manque de nature.
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A la Trace n°30 – juillet, août et septembre 2020
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« A la Trace » poursuit son analyse des effets de la crise Covid-19 sur le braconnage et la contrebande d’animaux à travers de nouveaux exemples concrets dans le monde entier. Durant le troisième trimestre 2020, les rumeurs s’installent sur la viande de pangolins, de félins et les organes de lions considérés comme des remèdes miracles contre le Covid-19. La pandémie fait bondir le pillage des animaux sauvages. Dès son émergence, elle provoque la recrudescence des pièges. En Inde et en Afrique, les gens des villes retournent au village, il y a beaucoup de bouches à nourrir, le braconnage redouble. Dans les pays riches, la chasse de loisirs bat son plein ; les gens tuent les cerfs, les ours, les orignaux et les rapaces pour tuer le temps. Le trafic d’animaux sauvages est en augmentation sur les réseaux sociaux. Au Myanmar, les centres de transit et de gavage des pangolins en attente de contrebande vers la Thaïlande sont pleins à cause de la fermeture des frontières et de la paralysie des transports. Les déstockages d’ivoire brut et d’autres produits fauniques accumulés pendant l’interruption totale des chaînes logistiques commencent à faire leur apparition. Le marché mondial des oiseaux sauvages est en expansion. La crise Covid-19 a ouvert de nouveaux débouchés avec une humanité confinée en manque de nature.
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« A la Trace » poursuit son analyse des effets de la crise Covid-19 sur le braconnage et la contrebande d’animaux à travers de nouveaux exemples concrets dans le monde entier. Durant le troisième trimestre 2020, les rumeurs s’installent sur la viande de pangolins, de félins et les organes de lions considérés comme des remèdes miracles contre le Covid-19. La pandémie fait bondir le pillage des animaux sauvages. Dès son émergence, elle provoque la recrudescence des pièges. En Inde et en Afrique, les gens des villes retournent au village, il y a beaucoup de bouches à nourrir, le braconnage redouble. Dans les pays riches, la chasse de loisirs bat son plein ; les gens tuent les cerfs, les ours, les orignaux et les rapaces pour tuer le temps. Le trafic d’animaux sauvages est en augmentation sur les réseaux sociaux. Au Myanmar, les centres de transit et de gavage des pangolins en attente de contrebande vers la Thaïlande sont pleins à cause de la fermeture des frontières et de la paralysie des transports. Les déstockages d’ivoire brut et d’autres produits fauniques accumulés pendant l’interruption totale des chaînes logistiques commencent à faire leur apparition. Le marché mondial des oiseaux sauvages est en expansion. La crise Covid-19 a ouvert de nouveaux débouchés avec une humanité confinée en manque de nature.
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« A la Trace » poursuit son analyse des effets de la crise Covid-19 sur le braconnage et la contrebande d’animaux à travers de nouveaux exemples concrets dans le monde entier. Durant le troisième trimestre 2020, les rumeurs s’installent sur la viande de pangolins, de félins et les organes de lions considérés comme des remèdes miracles contre le Covid-19. La pandémie fait bondir le pillage des animaux sauvages. Dès son émergence, elle provoque la recrudescence des pièges. En Inde et en Afrique, les gens des villes retournent au village, il y a beaucoup de bouches à nourrir, le braconnage redouble. Dans les pays riches, la chasse de loisirs bat son plein ; les gens tuent les cerfs, les ours, les orignaux et les rapaces pour tuer le temps. Le trafic d’animaux sauvages est en augmentation sur les réseaux sociaux. Au Myanmar, les centres de transit et de gavage des pangolins en attente de contrebande vers la Thaïlande sont pleins à cause de la fermeture des frontières et de la paralysie des transports. Les déstockages d’ivoire brut et d’autres produits fauniques accumulés pendant l’interruption totale des chaînes logistiques commencent à faire leur apparition. Le marché mondial des oiseaux sauvages est en expansion. La crise Covid-19 a ouvert de nouveaux débouchés avec une humanité confinée en manque de nature.
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« A la Trace » poursuit son analyse des effets de la crise Covid-19 sur le braconnage et la contrebande d’animaux à travers de nouveaux exemples concrets dans le monde entier. Durant le troisième trimestre 2020, les rumeurs s’installent sur la viande de pangolins, de félins et les organes de lions considérés comme des remèdes miracles contre le Covid-19. La pandémie fait bondir le pillage des animaux sauvages. Dès son émergence, elle provoque la recrudescence des pièges. En Inde et en Afrique, les gens des villes retournent au village, il y a beaucoup de bouches à nourrir, le braconnage redouble. Dans les pays riches, la chasse de loisirs bat son plein ; les gens tuent les cerfs, les ours, les orignaux et les rapaces pour tuer le temps. Le trafic d’animaux sauvages est en augmentation sur les réseaux sociaux. Au Myanmar, les centres de transit et de gavage des pangolins en attente de contrebande vers la Thaïlande sont pleins à cause de la fermeture des frontières et de la paralysie des transports. Les déstockages d’ivoire brut et d’autres produits fauniques accumulés pendant l’interruption totale des chaînes logistiques commencent à faire leur apparition. Le marché mondial des oiseaux sauvages est en expansion. La crise Covid-19 a ouvert de nouveaux débouchés avec une humanité confinée en manque de nature.
Comme des bêtes dans les bateaux-poubelles
Le rapport “78 bétaillères maritimes agréées par l’UE”, rédigé par Robin des Bois en partenariat avec Animal Welfare Foundation et Tierschutzbund Zürich est plus qu’accablant. Il est tranchant.
Saisie record de tortues au Burkina Faso
Mardi 8 juin, 555 tortues sillonnées juvéniles ont été sauvées du trafic international par les douaniers à Koudougou, province de Boulkiemdé. Elles étaient cachées dans la soute à bagages d’un autobus reliant Bamako au Mali et Lomé au Togo. Elles étaient réparties dans des caisses en bois, en carton et dans des sacs en toile et en plastique. De faux permis CITES accompagnaient la cargaison. La CITES est la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction. Les tortues sillonnées sont inscrites en Annexe II. Leur commerce international reste autorisé. Des permis d’exportation sont exigés. La saisie est le fruit d’une coopération entre les douanes du Mali et les douanes du Burkina Faso.
Les rhinocéros radioactifs
Rosatom, maître d’œuvre et fer de lance de l’industrie nucléaire russe, a trouvé dans la lutte contre le braconnage un nouveau moyen d’étendre son influence sur le continent africain.