La fuite du Grande Nigeria
Grande America, communiqué n°10
La diplomatie Grimaldi a fonctionné à fond au Havre. Le Grande Nigeria s’est échappé du deuxième port français avec dans son sillage 10 casseroles. En effet, à la suite du contrôle du Centre de Sécurité des Navires réclamé par Robin des Bois, 10 déficiences ont été relevées à bord du bad boy de la flotte napolitaine. Cinq concernent la lutte anti-incendie et une le registre des matières dangereuses. Le Grande Nigeria est en route pour Dakar.
Grimaldi Lines à Sète et à Marseille !
Grande America, communiqué n°9
Comme le Grande America qui pollue le fond de la mer dans le golfe de Gascogne et comme le Grande Nigeria qui fait route vers l’Afrique de l’Ouest après qu’une dizaine de déficiences dites “mineures” aient été relevées à bord par le Centre de Sécurité des Navires du Havre, un nouveau spécimen de la flotte Grimaldi Lines s’approche des côtes françaises.
Grande America : inventaire des matières dangereuses et autres
21 mars 2019 – 17:35
Grande America, communiqué n°8
Suite au courrier de Robin des Bois au Secrétaire général de la Mer demandant communication de la liste des matières dangereuses et non dangereuses embarquées sur le Grande America, une réunion s’est tenue aujourd’hui à Brest à la préfecture maritime de l’Atlantique. Ci-dessous la liste communiquée par les autorités et qui comprend plus de 1050 tonnes de matières dangereuses.
Grande America – demande de levée de doute sur les sources radioactives scellées
Note d’information
19 mars 2019 – 10:25
Aujourd’hui à 9h45, en réunion plénière du HCTISN (Haut Comité pour la Transparence et l’Information sur la Sécurité Nucléaire), le représentant de Robin des Bois a demandé à l’ASN (Autorité de Sûreté Nucléaire), à l’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) et aux autres parties prenantes de lever le doute sur la présence éventuelle de sources radioactives scellées à usage industriel à bord du navire Grande America qui a été victime d’un incendie et a fait naufrage le 12 mars 2019.
Le Haut Comité Nucléaire dans la tourmente
Le Haut Comité pour la Transparence et l’Information sur la Sécurité Nucléaire -HCTISN- cherche un ou une nouvelle présidente. Pour diriger cette instance, des qualités d’écoute et de diplomatie sont nécessaires. Le HCTISN est composé d’exploitants nucléaires, de syndicats, d’associations de protection de l’environnement, de députés et sénateurs, de représentants des commissions locales d’information, de l’Autorité de Sûreté Nucléaire, de l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire, de services de l’Etat et de personnalités qualifiées.