Echouage sur Clipperton

26 févr. 2010

Sichem Osprey
Communiqué n°2

La compagnie-mère propriétaire du Sichem Osprey est Eitzen Holding AS basée en Norvège. La filiale Eitzen Chemical a son siège commercial au Danemark. Le gestionnaire du navire est V Ships-Royaume-Uni.

Robin des Bois constate que le gouvernement français communique sur cet échouage 48 h après l’envoi de son communiqué alors que l’accident a eu lieu dans la nuit du 10 février. Robin des Bois rappelle que l’huile végétale est considérée comme un polluant marin non toxique. Son déversement massif entraîne l’engluage du littoral et des oiseaux ce qui est particulièrement dommageable pour la colonie de fous masqués de l’île de Clipperton. Il semblerait que le Sichem Osprey contienne plus de 10.000 t d’huile végétale.

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Clipperton : loin des yeux, près de la pollution

24 févr. 2010

Clipperton : loin des yeux, près de la pollution

Dans l’immensité de l’Océan Pacifique, un chimiquier danois battant pavillon maltais, servi par 19 marins russes, lettons et philippins et se dirigeant de la Nouvelle-Orléans à Ulsan en Corée du Sud s’est, après avoir franchi le canal de Panama, échoué sur l’atoll de Clipperton dont la superficie globale est environ de 6 km2. Cette étourderie s’est produite le 10 février vers 4 heures du matin, par temps calme, et à pleine vitesse tant et si bien que le Sichem Osprey a sa partie avant engagée dans l’atoll sur 60 m. La longueur totale du navire est de 170 m. Trois remorqueurs seraient aujourd’hui sur place dont le Revi, qui a appareillé de Papeete le 12 février.

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PCB : miracles à Paris et dans le Nord

23 févr. 2010

Robin des Bois publie la nouvelle édition de l’inventaire des sites terrestres pollués aux PCB. Cet outil est utile. Il permet aux riverains et aux élus de s’informer et aux services de l’Etat d’intégrer dans la banque de donnée BASOL des sites qui n’étaient pas jusqu’à lors catalogués comme pollués aux PCB. Il est illustré par de nombreuses archives iconographiques.

Le 1er inventaire publié en mai 2008 faisait état de 361 sites. Cette nouvelle version en compte 404.

La propagation se confirme. Les PCB sortent des parcelles initialement polluées, se répandent dans les caniveaux, contaminent les sédiments des ruisseaux et se concentrent dans les vases des cours d’eau et des estuaires puis dans les chaînes alimentaires aquatiques et marines. Il y a à ce sujet une divergence entre le Ministère de l’Ecologie et Robin des Bois. Le premier dit que le traitement à grande échelle des sédiments contaminés n’est pas possible et ne fait rien, le second prétend qu’à petite échelle, pour les lots les plus contaminés, le traitement est urgent et possible.

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PCB : miracles à Paris et dans le Nord

23 févr. 2010

Robin des Bois publie la nouvelle édition de l’inventaire des sites terrestres pollués aux PCB. Cet outil est utile. Il permet aux riverains et aux élus de s’informer et aux services de l’Etat d’intégrer dans la banque de donnée BASOL des sites qui n’étaient pas jusqu’à lors catalogués comme pollués aux PCB. Il est illustré par de nombreuses archives iconographiques.

Le 1er inventaire publié en mai 2008 faisait état de 361 sites. Cette nouvelle version en compte 404.

La propagation se confirme. Les PCB sortent des parcelles initialement polluées, se répandent dans les caniveaux, contaminent les sédiments des ruisseaux et se concentrent dans les vases des cours d’eau et des estuaires puis dans les chaînes alimentaires aquatiques et marines. Il y a à ce sujet une divergence entre le Ministère de l’Ecologie et Robin des Bois. Le premier dit que le traitement à grande échelle des sédiments contaminés n’est pas possible et ne fait rien, le second prétend qu’à petite échelle, pour les lots les plus contaminés, le traitement est urgent et possible.

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PCB : miracles à Paris et dans le Nord

23 févr. 2010

Robin des Bois publie la nouvelle édition de l’inventaire des sites terrestres pollués aux PCB. Cet outil est utile. Il permet aux riverains et aux élus de s’informer et aux services de l’Etat d’intégrer dans la banque de donnée BASOL des sites qui n’étaient pas jusqu’à lors catalogués comme pollués aux PCB. Il est illustré par de nombreuses archives iconographiques.

Le 1er inventaire publié en mai 2008 faisait état de 361 sites. Cette nouvelle version en compte 404.

La propagation se confirme. Les PCB sortent des parcelles initialement polluées, se répandent dans les caniveaux, contaminent les sédiments des ruisseaux et se concentrent dans les vases des cours d’eau et des estuaires puis dans les chaînes alimentaires aquatiques et marines. Il y a à ce sujet une divergence entre le Ministère de l’Ecologie et Robin des Bois. Le premier dit que le traitement à grande échelle des sédiments contaminés n’est pas possible et ne fait rien, le second prétend qu’à petite échelle, pour les lots les plus contaminés, le traitement est urgent et possible.

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