L’éléphant n’est pas une marchandise
CITES 2000 – Nairobi
La 11ème Conférence des Parties de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) s’est ouverte aujourd’hui au siège du Programme des Nations Unies pour l’Environnement, à Nairobi, au Kenya. Lors de la dernière session plénière, en juin 1997, à Harare (Zimbabwe), les populations d’éléphants (Loxodonta africana) du Zimbabwe, du Botswana et de la Namibie ont été déclassées de l’annexe I (interdiction du commerce international) à l’annexe II (commerce contrôlé). Ce déclassement partiel visant à exporter de l’ivoire vers un importateur unique, le Japon, ne devait devenir effectif qu’après renforcement de la coopération internationale dans la maîtrise du braconnage des éléphants et de la contrebande de l’ivoire. Depuis 1997, à travers l’Afrique et l’Inde, le braconnage des éléphants s’est multiplié et les trafiquants d’ivoire ont récupéré leurs parts de marché.
Probo Koala : Plainte contre les Pays-Bas et l’Estonie
Communiqué commun avec l’association Sherpa
Les associations SHERPA et ROBIN DES BOIS annoncent le dépôt d’une plainte auprès de la Commission Européenne à l’encontre des Pays-Bas et de l’Estonie stigmatisant les manquements de ces États concernant le traitement des déchets toxiques du Probo Koala.
Rappelons que ces manquements ont conduit au déversement illégal en août 2006 de plus de 500m3 de déchets hautement toxiques qui ont entraîné le décès d’au moins 16 personnes, l’intoxication de plus de 100 000 habitants et un préjudice environnemental majeur à Abidjan, capitale économique de la Côte d’Ivoire.
Probo Koala : Plainte contre les Pays-Bas et l’Estonie
Communiqué commun avec l’association Sherpa
Les associations SHERPA et ROBIN DES BOIS annoncent le dépôt d’une plainte auprès de la Commission Européenne à l’encontre des Pays-Bas et de l’Estonie stigmatisant les manquements de ces États concernant le traitement des déchets toxiques du Probo Koala.
Rappelons que ces manquements ont conduit au déversement illégal en août 2006 de plus de 500m3 de déchets hautement toxiques qui ont entraîné le décès d’au moins 16 personnes, l’intoxication de plus de 100 000 habitants et un préjudice environnemental majeur à Abidjan, capitale économique de la Côte d’Ivoire.
De l’utilité des baleines – avril 2010
De l’utilité des baleines (pdf 20 pages 1Mo)
Introduction. Les scientifiques ont longtemps cru que la vie animale et végétale en mer était exclusivement dépendante de l’énergie solaire et de la photosynthèse. Après les découvertes des sources hydrothermales et des suintements froids dans les grands fonds océaniques en 1977, ils ont cru que seuls ces phénomènes géologiques étaient capables de générer et d’agréger des communautés biologiques fondées sur des associations entre des bactéries qui transforment des composés soufrés en matière organique et une faune qui évolue dans un milieu obscur et en même temps multicolore; mais dix ans plus tard des découvertes nouvelles ont démontré que les carcasses de baleines et leurs squelettes dans les zones aphotiques des océans étaient elles aussi des sources de vie grâce à la symbiose entre des bactéries et un cortège d’espèces animales extrêmophiles et hyper spécialisées. … lire la suite De l’utilité des baleines
Procès en appel de l’Erika
L’arrêt de la Cour d’Appel de Paris libère de toute responsabilité civile la société Total et lui évite de participer au règlement des dommages. Seule sa responsabilité pénale est confirmée et donc l’amende de 375.000 euros décidée en première instance est maintenue. Total devra au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale contribuer à hauteur de 1,8 millions d’euros aux frais de justice des parties civiles.
Le jugement étend la reconnaissance du préjudice écologique à des collectivités territoriales touchées par les pollutions.