Posts Tagged "méthanier"

Un méthanier belge en carafe à Marseille

17 sept. 2015

Un méthanier belge en carafe à Marseille

Non loin du Corse, sur un quai mort, un autre navire est en attente de démolition. Déjà en sursis en 2007, frappé par la foudre à Zeebrugge en 2008, en arrêts techniques ou en relâche à Brest en 2013 et en 2014, le Methania est à Marseille depuis la mi-décembre 2014. Des travaux prévus au chantier naval de Marseille ont été remis à plus tard. Ils devaient durer 2 mois. L’obsolescence du Methania, la disponibilité d’unités plus grandes et plus économes en équipage et en carburant, le privent d’affrètements à long terme ou à court terme.

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Tempête dans le Sud-Ouest / avarie du Provalys

24 janv. 2009

Tempête dans le Sud-Ouest / avarie du Provalys

Note d’interrogation

Le Provalys est l’un des plus gros méthaniers du monde. Pendant son baptême en novembre 2006, ses caractéristiques innovantes dans le domaine de la propulsion et de l’isolation des cuves ont été mises en avant. En cas de dysfonctionnement, ce type de navire expose les personnes, les biens et l’environnement à des risques considérables d’incendie, de projection et d’explosion.

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Tempête dans le Sud-Ouest / avarie du Provalys

24 janv. 2009

Tempête dans le Sud-Ouest / avarie du Provalys

Note d’interrogation

Le Provalys est l’un des plus gros méthaniers du monde. Pendant son baptême en novembre 2006, ses caractéristiques innovantes dans le domaine de la propulsion et de l’isolation des cuves ont été mises en avant. En cas de dysfonctionnement, ce type de navire expose les personnes, les biens et l’environnement à des risques considérables d’incendie, de projection et d’explosion. Robin des Bois demande donc à l’armateur Gaz de France et à la Préfecture Maritime de l’Atlantique de donner des informations précises sur l’avarie du Provalys.

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Un scandale bien français : la casse au Bangladesh

22 juil. 2008

round_robin

Round Robin n°1

Trois armateurs français envoient à Chittagong (Bangladesh) des navires toxiques avec de l’amiante et d’autres dangers. Il s’agit de Gaz de France avec le Descartes qui avait été soi-disant revendu pour exploitation à la société taiwanaise TMT. En fait, après Marseille, le Descartes est resté dans un port chinois pendant plusieurs mois avant de rejoindre le Bangladesh le 19 juillet 2008 ; sa seule activité a été de changer deux fois de nom. Les autres navires sont le pétrolier Muadi appartenant à la compagnie pétrolière Perenco et le pétrolier Serepca 1 appartenant à une filiale de Total. L’Edouard LD de Louis Dreyfus Armateurs et Gaz de France a été revendu « pour exploitation » à Dynacom, armateur grec, en vue de subir le même sort. Malgré le bénéfice énorme (750 $ la tonne pour des navires en fin de vie, voire 1.000 $ la tonne pour les navires contenant de l’acier inoxydable ou des métaux non ferreux comme le Descartes vendu 14 millions de dollars), les armateurs français et européens ne font aucun effort particulier pour améliorer les conditions de travail des ouvriers bangladais.
Le 22 juillet 2008

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