Australie contre Japon
Note d’information n°1
Les baleines devant la Cour Internationale de Justice
L’Australie se fait porte-parole des baleines en attaquant la « chasse scientifique » japonaise devant la Cour Internationale de Justice de La Haye aux Pays-Bas. Les auditions du dossier « Chasse à la Baleine dans l’Antarctique » (Australie c. Japon ; Nouvelle Zélande intervenant) vont se dérouler pendant 3 semaines. L’arrêt sera rendu d’ici 4 à 8 mois. L’Australie espère que la décision sera prise d’ici 5 mois, avant la prochaine saison de chasse dans l’Océan Austral.
Australie contre Japon
Note d’information n°1
Les baleines devant la Cour Internationale de Justice
L’Australie se fait porte-parole des baleines en attaquant la « chasse scientifique » japonaise devant la Cour Internationale de Justice de La Haye aux Pays-Bas. Les auditions du dossier « Chasse à la Baleine dans l’Antarctique » (Australie c. Japon ; Nouvelle Zélande intervenant) vont se dérouler pendant 3 semaines. L’arrêt sera rendu d’ici 4 à 8 mois. L’Australie espère que la décision sera prise d’ici 5 mois, avant la prochaine saison de chasse dans l’Océan Austral.
Baleines : elles ne sont pas encore dans leur assiette
58ème réunion plénière de la Commission Baleinière Internationale
Saint-Kitts-et-Nevis
Une coalition hétéroclite s’est acharnée à faire passer au sein de la Commission Baleinière Internationale (CBI) une résolution favorable au respect de la diversité culturelle, de l’autonomie alimentaire et des objectifs de la Convention tels qu’ils étaient entendus en 1946 : la routine ! Sauf que parmi les 10 considérants de cette résolution, le 5ème déclare tout de go sans validation scientifique ou juridique que la suspension de la chasse à la baleine ne se justifie plus. Malgré ce couac orchestré par le Japon, la Norvège, l’Islande, la Russie et un cortège de nations s’apparentant de plus en plus dans le fond et dans la forme aux pavillons maritimes de complaisance, le bilan de la 58ème Commission Baleinière Internationale est positif.
Baleinafric
Commission Baleinière Internationale. Ulsan, Corée du Sud. 20 – 24 juin 2005.
Sous la baguette du Japon, un nouveau facteur d’unification et de coopération interafricaine est en train d’émerger et de se consolider. Le Bénin, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Gabon, la Guinée, la Mauritanie, le Maroc, le Sénégal soutiennent l’initiative japonaise de développer la chasse à la baleine dans le sanctuaire de l’océan austral. Le Togo, le Mali, la Gambie sont en cours d’intégration à la CBI. Seule l’Afrique du Sud a voté la résolution condamnant JARPA II. Cf communiqué Robin des Bois “J’harponne II” du 7 juin 2005.
La baleine samaritaine
56ème Commission Baleinière Internationale.
Sorrente -Italie
Communiqué n°3
Coalition francophone – ECCEA, Robin des Bois, ASMS OceanCare
Le Japon a demandé à ce qu’un nouveau point intitulé ” Future chasse durable à la baleine – pleine utilisation des baleines tuées ” soit inscrit dans l’agenda de la 56ème session plénière de la CBI. Le but avoué de cette manœuvre qui laisse plus d’une délégation perplexe est de présenter un historique de la chasse à la baleine, en particulier en Antarctique, en soulignant les multiples utilisations possibles des différentes parties des baleines tuées. Pour cela, le Japon se réfère au développement durable et à l’article VIII 2 de la Convention fondatrice de la CBI qui stipule que ” toutes les baleines prises sous ces permis spéciaux (permis scientifiques) doivent autant que possible être traitées et les recettes seront réparties selon les orientations fixées par le pays titulaire du permis”.